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Fiche Perry

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Message par red_pants. Lun 4 Mar - 15:53

gotta keep believing, this is why I'm breathing
(the fire within - within temptation)
Perry 'Perceval' Matheson

54 ans18 septembre 1969, NYCViergeAméricaine$$$$$célibataire, divorcéBisexuelPaul RuddJournaliste d'investigation, écrivain sur le déclin, chieur

brimades et enfance difficile, divorce, dépression

Delicious personalitySi la curiosité est un vilain défaut pour certains, pour Perry, c'est une qualité primodiale. Après tout, il l'est énormément, donc ce serait hypocrite de sa part de dire le contraire. Les énigmes et les mystères ? C'est pour lui. Il a cette foutue impression d'être celui qui arrivera à percer le mystère de tout un siècle alors qu'il n'a aucune piste viable. L'espoir fait vivre comme on dit. Mais pour Perry, résoudre des mystères -du moins essayer- lui permet de penser à autre chose qu'à sa propre condition. Echappatoire ? Oui, possiblement. Fuite en avant ? Oui, totalement. Trois divorces, dont deux avec la même femme, on peut dire que notre cher Perceval ne sait pas ce qu'il veut. Ou alors, il a juste peur de finir seul. Alors il a préféré revenir avec son ex plutôt que de continuer à vivre seul. Et c'est assez triste quand on y pense, mais c'est une peur que notre cher cinquantaire a. Mais il ne la montre pas cette peur, bien au contraire. Ses parents lui ont toujours dit de cacher cette peur ou toute autre émotion car c'était signe de faiblesse et de non-intelligence, bah oui, exprimer ses émotions c'était s'exposer avant de se faire avoir. Alors Perry a toujours le dernier mot pour rire, même dans le pire des moments. Certains vont voir cela comme de l'irrespect, pour lui, c'est juste une façon de s'adapter à la situation, un moyen de survie. Intrépide, impulsif, s'il y a quelque chose de dangeureux et surtout de stupide à faire, comptez sur lui, il fonce la tête la première. Encore une fois, c'est une façon pour se faire remarquer, de se mettre en avant non pas parce qu'il aime avoir la lumière sur lui, mais c'est plus une façon pour dire "hey, je suis là, j'existe..". Malgré tout cela, Perry est à l'écoute des autres, il ne sait jamais trop quoi dire lorsqu'on se confie à lui, mais il reste un soutien indéfectible si jamais vous avez besoin d'aide. C'est un amoureux des bêtes, il est du genre à recueillir chaque animal blessé qu'il peut trouver, faisant de sa petite maison un véritable refuge à écureuils, hérissons et autres chats errants.

You don't know everything about myself, me.
Aime
Ecrire, ce n'est pas une surprise vu son métier. L'écriture est une manière à lui de s'exprimer, notamment les romans qu'il a fait publier quelques années auparavant. Si vous lisez bien entre les lignes, vous comprendrez à quel point il est mal dans sa peau - Le thé, il en boit beaucoup et sort toujours avec un petit thermos de thé chaud afin d'en avoir toujours avec lui. C'était ça ou la caféine et pour le bien de tous, y compris lui-même, il a choisi le thé - Les mystères, ce n'est pas une surprise. Depuis qu'il est gosse, il est passionné de mystères ou même de crimes non résolus, il aime la difficulté et l'impossible - La bonne nourriture, il n'est pas très doué en cuisine, il l'admet lui-même, mais il adore manger. C'est un fin gourmet, mais surtout un gros gourmand, il est toujours en train de grignoter quelque chose - Faire rire les gens, c'est un de ses passe-temps favoris à vrai dire. Faire rire les autres, c'est comme obtenir une approbation, une sorte de reconnaissance, celle qu'il n'a jamais eu auprès de ses parents.

Aime pas
Son prénom. Non vraiment, il n'aime vraiment pas. Il n'a rien contre la légende arthurienne, mais il n'a jamais supporté son prénom, voilà pourquoi il se fait appeler Perry depuis presque toujours, au point que peu de monde sait qu'il s'appelle en réalité Perceval et c'est pas plus mal - Sa famille, pas vraiment une surprise... Bizarrement il est encore légèrement influencé par ses parents car ils restent ses parents malgré tout le mal qu'ils ont pu lui faire. Alors bien évidemment, il n'y a jamais eu de violence physique, mais psychologiquement, on ne peut pas dire qu'il en est ressorti indemne - La solitude, ce qui explique ses trois mariages. Trois mariages, trois échecs, même si pour lui, il n'y a que deux échecs puisqu'il s'est marié deux fois à la même femme, donc ça compte pour un non ? Eternel insatisfait ? Non, il a juste peur d'être seul et de mourir seul - L'inaction, c'est pourquoi il est toujours en train de chercher quelque chose à faire, même si c'est dangeureux ou si c'est une connerie, au moins son cerveau est concentré sur autre chose que ses problèmes - Être dans le noir. Personne ne le sait, vraiment personne, mais il n'aime vraiment pas ça et oui, il dort avec une petite veilleuse, vous moquez pas !

Que pense ton personnage de la légende du Triangle de Bennington et des disparitions associées ?  S'il se fiche de l'affaire ? C'est tout le contraire,  c'est le mystère de sa vie. Sa carrière d'écrivain sur le déclin, c'est un moyen pour lui de rebondir et surtout de s'occuper l'esprit. C'est en lisant le journal qu'il a appris cette histoire de disparition. Il ne sait pas si c'est ce mystère, les lieux, ou un mélange des deux, toujours est-il qu'il a tout de suite été happé par les événements et, sur un coup de tête, a décidé d'emmenager à Bennington. Depuis son arrivée, il a rencontré et interrogé pas mal de monde, s'est confronté à de nombreux refus aussi. Surtout venant des forces de l'ordre. En même temps, il est toujours dans leurs pattes à demander s'ils ont des pistes et s'ils comptent faire leur boulot un jour, pas étonnant qu'on soupire en le voyant arriver. Pourtant, il ne désire qu'aider...



The history is what we kept in memories A big part of depression is feeling really lonely, even if you're in a room full of a million people - Lilly Singh

Petit-fils d'immigré juif, Perry -Perceval de son vrai nom- a vu le jour à New-York dans une famille bourgeoise. Ariel, son père, médecin de son état, possède un cabinet en plein milieu de Manhattan et a réussi à se faire une belle clientèle tout au long de sa carrière. Anna, sa mère, lui donne un coup de main dans tout ce qui est suivi administratif avant la naissance de leurs enfants. Ces derniers sont au nombre de deux à savoir Ezra, l'aîné, puis vient Perceval, le petit dernier. Lorsque Perry naît, Anna fait engager une secrétaire pour son mari, supervisant son embauche, mais aussi tous ses faits et gestes. Elle ne travaille peut-être plus au cabinet, mais elle met son petit grain de sel partout au point où les secrétaires se succèdent, excédée par cette intrusion permanente. Ariel, lui, se fiche bien du bien-être de son employée, du moment que les affaires fonctionnent, tout va bien. Voilà le topo et cela vous donne une petite idée de l'ambiance qui règne au sein de la famille. Les Matheson sont dans le paraître et font en sorte de briller en société, quoiqu'il en coûte. Il a suffi d'une opportunité, pour qu'Ariel se voit propulsé dans cette bourgeoisie guindée new-yorkaise que Perry aura en horreur tout au long de sa vie.

Qui dit bourgeoisie, dit dîners ou réceptions un peu huppées. Lorsque cela se passe chez les autres, les fils Matheson ne sont bien évidemment pas conviés, du moins, leurs parents ne daignent pas les emmener avec eux, estimant que cela n'était pas leur place. Mais lorsque les réceptions se déroulaient chez les Matheson, les deux fils étaient priés de rester dans leur chambre, même si parfois, ils étaient admis à table, à condition de garder la bouche fermée. Manque de bol, Perry n'était pas du genre à garde bouche close lorsqu'on le lui demande. Alors Ariel le réprimande devant les invités, le rabaissant plus bas que terre pour lui faire comprendre qu'il n'était rien. Cela aurait pu s'arrêter là, mais bien évidemment le rictus sur certains visages n'arrangent rien, bien au contraire. Personne ne lui venait jamais en aide dans ce genre de moment là, que ce soit un invité ou même sa mère. Personne. Et puis Perry est du genre têtu, alors il va réitérer à chaque fois qu'il le peut et subira les mêmes brimades en boucle, en public. De même en privé, lorsque tout le monde aura quitté les lieux, Ariel en remettra une couche et c'est là, que Perry se permettra de lâcher du lest, de montrer à quel point cette situation le tend, lui fait mal. Mais son père n'est pas sensible aux émotions de son fils, bien au contraire, il les a en horreur. Des yeux brillants, une larme qui coule ? Ce n'est que faiblesse à ses yeux, un homme ne pleure pas, un homme se doit de rester impassible, surtout en société. « Prends exemple sur ton frère ! » Le genre de phrase qu'il entendra tout le long de sa vie, même encore aujourd'hui.

Ezra est l'aîné et est censé être un modèle pour son cadet. Mais il est tout ce que le cadet en question déteste et ne veut pas devenir. Froid, guindé, snob, non merci, il n'avait pas envie de finir moine. La relation fraternelle est donc... inexistante. Elle n'est même pas tendue ou conflictuelle, puisqu'il n'y a pas de relation. Les deux frères ne s'adressent même pas la parole. Perry avait fait l'effort durant les premières années de son enfance, mais devant l'indifférence de son aîné, il avait laissé tomber, ne voulant pas se faire de faux espoirs et souffrir encore plus. Les deux frères sont donc de parfaits étrangers, et ce n'est pas exagéré de le dire. Demandez à l'un ou de dire quel est le plat préféré de l'autre ou alors quelle est sa couleur préférée, vous n'en tirerez rien. Quoique Perry fasse, ses parents seront déçus. Imaginez donc leur tête lorsque ce dernier leur a annoncé qu'il voulait gagner sa vie en écrivant. « Écrire quoi ? Ce n'est pas une vie l'écriture, prend exemple sur ton frère et fais des études de droit ! » Et bien évidemment, Perry fera tout l'inverse. Il n'entrera pas en fac de droit, mais en fac de lettres histoire d'avoir un peu de bagage avant de se lancer dans le grand bain.

Énième déception lorsque Perry divorce une première fois. Le divorce n'est pas en option dans la famille, leurs parents en sont la preuve ultime. Qu'ils ne s'aiment plus n'est un secret pour personne, pourtant, ils restent mariés et font bonne figure, car le divorce n'est certainement pas envisageable. Mais pas pour Perry. La preuve, il divorcera deux autres fois après ça. Oui, il a un côté instable sentimentalement parlant et vous osez encore vous demander pourquoi ? Un psychanalyste se serait payé un très beau séjour de plusieurs semaines au Bahamas s'il avait eu le loisir d'écouter Perry pendant quelques séances, croyez-moi. Il fanfaronne, il déploie une énergie monstre -qui peut épuiser les autres- et ce, à longueur de journée. Infatigable le bougre ! Mais si tu te poses, t'es foutu. C'est comme cela qu'il voit les choses. Tant qu'il est en mouvement, tant qu'il pense à tout sauf à ses problèmes, tout va bien. Le retour du bâton, il l'a vécu certaines fois. Un coup de fatigue, c'est son excuse. Mais Perry a traversé plusieurs périodes dépressives, celles qui ne vous font plus sortir de chez vous, celles qui vous coupent l'appétit, celles qui vous clouent dans votre lit, celles qui vous fatiguent au point que ne rien faire est éreintant. Son médecin lui a diagnostiqué une dépression chronique, sans surprise et lui conseille de se faire suivre, chose qu'il a bien évidemment refusé, se contentant de suivre un traitement qu'il arrêtera plusieurs fois avant de le reprendre lorsqu'il se sent mal. Mais tout cela, il n'en parle jamais, les problèmes de santé mentale sont évidemment taboues et bannies des conversation depuis toujours, comment voulez-vous qu'il en parle. Perry est juste ce type qui fait rire les autres, ce clown terriblement triste.

Afin de se changer les idées et pour repartir de zéro -enfin essayer-, Perry a décidé de quitter New-York qui est une ville qu'il a maintenant en horreur, plus rien ne l'y retient désormais, hormis un fils, mais ce dernier lui a clairement fait comprendre qu'il préférait le voir mieux, donc loin. Le mystère de Bennington est en quelque sorte un prétexte pour lui de penser à autre chose, même si l'affaire l'intéresse véritablement et il sent une énergie nouvelle le revigorer depuis qu'il est dans les parages. Autant dire qu'il s'accroche de toutes ses forces à ce mystère qui le fait se lever tous les matins, c'est déjà ça. Reste à voir si autre chose qu'un mystère peut lui donner l'envie de se lever le matin...

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