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Fiche Spencer

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Message par red_pants. Lun 4 Mar - 15:49

gotta keep believing, this is why I'm breathing
(the fire within - within temptation)
Spencer Wilcox

59 ans29 octobre 1964 à Bennington, VTScorpionAméricaine$$$$$(éternel) CélibatairePansexuelRufus SewellMédecin Légiste

classisme, préjugés sociaux, homophobie, relation adultère

Delicious personalitySpencer c'est comme qui dirait, une force tranquille. Il va y avoir assez peu de choses qui vont pouvoir lui faire perdre son sang froid (jeu de mot amusant quand on sait quel boulot il occupe ici dorénavant...), ou le mettre réellement hors de lui. Il sera toujours du genre à analyser la situation sous tous les angles avant de prendre une décision, va être la voix de la raison, celui qui sait être responsable en toutes circonstances s'il y en a besoin. Donc d'apparence, pas forcément quelqu'un qu'on aura envie de côtoyer. Et pourtant, sous son air de type un brin hautain et coincé, se cache un grand amateur de jeux de mots et d'esprits, quelqu'un qui possède une immense connaissance sur tout un tas de choses et qui peut vous les rendre intéressantes car il possède un talent naturel pour la rhétorique et il faut dire qu'il a aussi un filet de voix qui a le don de vous faire rester juste pour l'écouter un peu plus longtemps. Il n'est certes mais du genre extrêmement extraverti mais reste tout de même quelqu'un de sociable, discret dans le sens où il préférera toujours que l'attention soit sur les autres que sa propre personne et du genre drôle, quand on comprend ses blagues, parfois un peu pointues, faut bien l'avouer. Mais bon, c'est aussi un homme de son temps, il a grandi dans un monde bien différent de celui dans lequel nous évoluons aujourd'hui et cela a laissé pas mal de traces sur son comportement, sa façon de penser aussi et surtout, sur ses manières. Qui peuvent lui donner, une fois de plus, des airs un brin pet-sec mais bon, il a grandi avec des principes et des valeurs qui ont forgés sa vie depuis bientôt six décennies, alors pour espérer qu'il change encore à ce stade, vous avez intérêt à être du genre patient... ou dans le déni total. En général, il passe pour quelqu'un d'un peu "étrange", puisqu'il a des passions assez particulières (comme la collection de premières éditions de manuels médicaux, collectionner les anecdotes inutiles sur tout et n'importe quoi, parcourir les antiquaires pour y trouver du vieux matériel chirurgical...). Autodidacte pour pas mal de choses, il a un penchant prononcé pour les langues (vivantes comme mortes d'ailleurs), la musique (il joue du piano, a amassé une belle collection de vinyles, possède un gramophone dans son bureau) et la gastronomie en général (les bons petits plats et les bons vins surtout). Oui, c'est ce qu'on appelle un homme raffiné et il ne s'en excuse pas. Il a trimé sa vie durant pour profiter à ce jour d'un certain train de vie, alors il compte bien pouvoir en profiter sans avoir de comptes à rendre à qui que ce soit. En parlant de ça justement, vous l'aurez compris je pense à ce stade, monsieur est du genre bourreau de travail. Bon faut dire que d'une, il est passionné par ce qu'il fait (il ne fait rien s'il n'y trouve aucun intérêt d'ailleurs) et de deux, qu'il n'a pour ainsi dire plus aucune vie sentimentale depuis des lustres. Il peut donc cumuler les heures supp sans que ça n'emmerde personne à part peut-être son chat, et encore...

You don't know everything about myself, me.
Aime
son métier/la science; quelle surprise je sais, il y consacre sa vie depuis plus de trente ans, il le fera jusqu'à son dernier souffle ou jusqu'à ce que son cerveau le lâche mais oui, il était destiné à devenir médecin, il sauve des vies de façon différente mais il en sauve + lire & écrire; alors bon, on va pas se cacher que la lecture en dehors des recherches des autres, il a largement du diminuer la dose ces dernières décennies mais il a une impressionnante collection de livres chez lui, notamment aussi des premières éditions de traités de médecine, dont certains valent quand même plusieurs centaines de dollars et bien sûr, il publie régulièrement des articles dans des revues, obligation de son ancien boulot + la musique; il ne peut pas travailler sans, quand il a besoin de réfléchir, il lui faudra toujours un fond sonore, du coup c'est souvent du classique (tous les grands y passent, de Mozart à Verdi en passant par Wagner ou encore Bach) mais il écoute aussi des BO de films (bon ça compte aussi pour du classique le plus souvent je sais) mais il aime aussi beaucoup le rock mais là aussi les classiques, Stones, Beatles, Queen et compagnie quoi (et il joue du piano aussi, il en a un chez lui) + le bon vin; il n'est pas collectionneur, pas réellement, il apprécie de les goûter quand il le peut mais il ne mettra jamais plus de 50$ dans une bouteille en temps normal + la bonne cuisine; ne cuisinant pas lui-même (pas le temps en général), il a survécu pendant trois décennies de plats réchauffés et de livraisons quand il ne profitait pas du room-service de l'hôtel où il se trouvait alors, il adore toutes les cuisines avec une préférence pour l'italienne et la française mais il aime aussi beaucoup la cuisine mexicaine par exemple + le calme; les gens qui parlent pour ne rien dire, ça l'insupporte, qu'on lui expose ses problèmes de cœur pendant les heures de bureau c'est s'exposer à une réplique bien cinglante rappelant le devoir d'efficacité avant autre chose, faut dire que vu son domaine de prédilection, une erreur inattention peut coûter cher (voir être fatal) + les couchers/levers de soleil; ayant parcouru le monde, et lève-tôt/couche-tard, il est en général debout pour les deux et aime, quand il le peut, l'admirer une tasse de thé à la main + l'odeur du whisky; surtout celle d'un Macallan de 25 ans d'âge, boisson favorite de Morgan, odeur qui lui fait donc immanquablement penser à lui car lui ne boit pas d'alcool fort + les langues; passionné depuis l'enfance par les langues, il en a appris pas mal en autodidacte et bien entendu le latin, pratique dans son métier aussi.

Aime pas
l'odeur de la cigarette; il a toujours haït cette odeur, celle de la cigarette, froide dans le bureau de son père, dans celui de son professeur de thèse à l'université, il ne la supporte plus, il a déjà viré un stagiaire pour, je cite: ne pas avoir à parler à un cendrier pendant 12h chaque jour + le jet-lag; amené à voyager assez souvent avec son ancien poste, il a toujours détester le décalage horaire, il s'y est fait à force, mais les premières fois ont mis son horloge interne à rude épreuve et il a ingurgité de litres et des litres de café pour tenir le coup + les gens fainéants; pour lui, une des plus importantes valeurs qu'il puisse exister est le travail, il a donc horreur des gens qui n'en fichent pas une et ose derrière se plaindre, des ingrats, purement et simplement + les "anti-vax"; ayant dédié sa vie entière à l'étude des virus, que les gens puissent encore de nos jours douter du bienfait qu'apporte les vaccins ou les progrès médicaux lui donne envie d'en disséquer un ou deux au scalpel... + les gens étroits d'esprit; que ça soit niveau religion, science, place de la femme dans la société ou autres sujets dans le même genre, il ne supporte pas les gens qui sont même incapables d'envisager que d'autres puissent penser autrement et voir les choses avec un autre point de vue, tout aussi valide en soi + les transports en commun; déformation professionnelle dira-t-on, mais il sait que ce sont des nids à bactéries et s'il peut donc éviter de les prendre, il le fera (pas pratique quand on doit voyager au quatre coins du globe assez régulièrement pour son boulot), il préfèrera alors sa voiture (une Aston Martin DB, oui la même que James Bond) et s'il le faut, son vélo.

Que pense ton personnage de la légende du Triangle de Bennington et des disparitions associées ?  Ayant vu le jour ici, y ayant grandi avant d'en partir pour ne plus jamais réellement y revenir, Spencer est plutôt mitigé sur tout ça car dans un sens, il sait que ces disparitions restent à ce jour des mystères à résoudre, et homme de science lui-même, ça titille forcément son esprit, mais il s'est détaché de son passé depuis trop longtemps pour encore réellement gardé tout ça en mémoire même si maintenant qu'il est de retour, il se pourrait bien qu'il tente de creuser la question, vu le poste qu'il occupe désormais, qui lui donne mine de rien accès à certaines informations que les autres personnes n'ont pas...



The history is what we kept in memoriesThe important thing is not to stop questioning. Curiosity has its own reason for existing. - Albert Einstein

Il est assis, seul, dans la cour de l'école, une feuille en main, le regard fixé sur celle-ci depuis des minutes quand il sent que quelqu'un approche. Un rapide coup d’œil sur le côte lui confirme l'identité du gamin qui venait de le rejoindre, l'un des seuls dans l'école et sa propre classe qui daignait lui parler en règle générale. « Pourquoi tu fixes cette feuille comme ça ? Tu essaies de voir si tu as la vision laser de Superman ? » Un roulement d'yeux avant de répondre, Spencer secoue la tête de gauche à droite. « J'essaie de comprendre comment elles peuvent changer de couleurs selon les saisons. Ça ne te dérange pas toi, de ne pas savoir ? » Haussement d'épaules et mine dubitative de la part de Morgan en réponse. « Pour les arbres nan, pas vraiment, moi c'est plus de savoir comment fonctionne le corps humain. » Ils n'ont peut-être encore que 7 ans à l'époque, mais chez les deux gamins on devine déjà un certain potentiel, des prédispositions pour de futures carrières pourrait-on même dire et qui vont bel et bien se confirmer quelques années plus tard, puisque comme c'est le cas depuis la maternelle, ils vont passer la totalité de leur cursus scolaire côte à côte, et même plus peut-être plus que ça...

Amis d'enfance donc, il est vrai qu'il y a toujours eu une certaine connexion entre eux, que certains pourraient définir par étrange, car sur le papier, ils n'ont pas grand chose en commun, si ce n'est peut-être d'avoir une curiosité naturelle débordante pour la chose scientifique et un certain handicap social qui fait qu'ils se font moins facilement des amis que le reste de leurs petits camarades. Il faut dire que là où les autres vont jouer avec une pile de feuilles rouges et jaunes l'automne venu, Spencer lui va plutôt tenter de voir si les arbres perdent plus ou moins vite leurs feuilles selon leur état de santé, la force du vent... Vous voyez, pas réellement ce qui est censé fasciner les gamins de cet âge là quoi. Mais tous les deux venant du même milieu, si on peut dire, cela peut s'expliquer aussi par le fait que leurs parents tiennent à faire d'eux des copies d'eux-mêmes, de parfaits héritiers qui prolongeront la lignée et le nom qu'ils portent... Ah s'ils savaient à quel point ils pouvaient se tromper sur ce point là. Enfin en partie du moins, pour ceux de Spencer surtout.

Car le jeune garçon se passionne plus pour les études en grandissant que pour les demoiselles de son âge (ou les jeunes hommes d'ailleurs, car oui, il a conscience d'être également attiré par le corps masculin, mais sans avoir de réelles pulsions comme on peut en ressentir durant l'adolescence). Bon, il faut dire aussi que comme il fait une tête de plus que la majorité de ses camarades, qu'il est fin comme un fil de fer et que son regard profond peut vous donner l'impression de percer le vôtre quand il s'y attarde un peu trop, on ne peut pas dire qu'il ait autant de succès que d'autres garçons de son âge, comme Morgan, pour ne citer que lui en exemple. Peut-on y voir une certaine jalousie ? Hum ma foi oui, mais certainement pas celle que vous pensez. Car oui, c'est son meilleur ami depuis déjà plus de dix ans à ce stade et sans doute la seule personne qu'il supporte réellement sans s'agacer ou se lasser au bout de dix minutes, mais c'est surtout la seule personne qui ne le juge pas et qui ne l'a jamais jugé d'être comme il est. Car une fois de plus, les deux ont bien des points en communs, dont celui de partager des sentiments qu'ils n'identifient pas encore réellement comme tels pourtant, faut dire qu'en ce temps, ressentir ce genre d'attirance n'était pas bien vu et évidemment encore moins quand on a des parents comme les leurs.

Pourtant, il fini bien par se passer ce qui devait arriver. Été 1982. Dernières semaines de répit avant le lancement dans le grand bain, avant le départ pour New York, avant le décollage du nid familial tant attendu... Ils sont tous les deux seuls, allongé sur une couverture, aux pieds d'un grand érable, à discuter depuis déjà près de deux heures de tout sauf de ce dont ils voulaient réellement parler. Mais on ne peut pas réellement le leur reprocher, encore une fois, à cette époque là, les mœurs étaient bien différentes. Pourtant, après quelques secondes de silence après un débat intense sur quelle spécialité était la plus prestigieuse au sein de la Médecine, c'est Spencer qui fini par se lancer. Enfin, il essaie en tout cas... « Dis, si j'avais une hypothèse à vérifier, serais-tu prêt à me porter ton aide pour se faire ? » demande-t-il, l'air dégagé, sentant pourtant ses tripes se serrer dans son bas-ventre. Il n'en revient pas d'avoir tant d'audace d'ailleurs, mais éternel à lui-même, rien n'en transparait ou presque sur son visage. « Tu sais très bien quelle est ma réponse Wilcox, tout pour la Science... » La réponse est laconique et pleine de cynisme, belle et bien digne de qui vient de la donner et cela fait sourire Spencer. Sourire qu'on voit à peine mais qui est pourtant bien là et qui témoigne de l'attachement qu'il peut avoir pour cet idiot, allongé à côté de lui et qu'il va embrasser pour la première fois quelques secondes plus tard, entamant ainsi douze années de relation entre eux.

En effet, durant toute la durée de leurs études de médecine, ils seront en couple... sans pour autant l'être aux yeux du monde. Oui, je m'explique, deux secondes les amis, laissez moi le temps de planter le décor. Si en effet, ils se sont mis ensemble durant l'été et qu'ils ont pu vivre une histoire loin de leurs parents à New York, ils n'étaient pas pour autant débarrasser de la vie qui les attendaient à Bennington à leur retour... Ce qui pour Morgan, voulait dire, l'obligation de se marier. Car oui, l'été suivant, en retournant chez eux, la bonne nouvelle tombe. Papa Rosenberg a trouvé une future épouse à son fils, digne de lui, bien sûr, mais surtout digne de l'image qu'il veut projeter une fois que ces deux là seront unis par les liens sacrés du mariage... Pas comme s'ils n'étaient pas déjà partie intégrante des huiles de la ville hein... S'en suit, vous vous en doutez bien, une discussion pas réellement agréable entre eux, à l'issue de laquelle, ils décident de continuer, quoi qu'il arrive et même si pour cela, ils devaient garder le secret le plus absolu sur la réelle nature de leur relation. Pratique alors, que pour tout le monde, ils étaient déjà meilleurs amis auparavant. Ça offre une couverture en quelque sorte, une bonne excuse réciproque pour l'un et l'autre de passer du temps ensemble. Après tout, ils suivent les mêmes études, normal qu'ils passent aussi leur temps à réviser à deux, nan ? Surtout les cours d'anatomie, pour lesquels ils sont particulièrement friands des travaux pratiques, si vous voyez où je veux en venir...

New York devient donc assez vite synonyme de liberté pour eux, puisque là-bas, loin de leurs proches, ils pouvaient être qui ils étaient réellement et surtout, être ensemble. Alors bien sûr, Spencer est là quand Morgan se marie, on suspecterait fortement quelque chose de ne pas voir le meilleur ami et témoin du marié dans les parages le jour J. Il encaisse, sans broncher (pas comme s'il avait d'autre choix de toute manière on le sait bien), tout comme il le fera quand il deviendra père peu après, acceptant même de devenir le parrain du petit, c'est vous dire. Ah, qu'est-ce qu'on ne ferait pas par amour... C'est d'ailleurs par amour, que quelques années plus tard, quand Spencer reçoit une offre qu'on ne peut pas refuser (voyons qui aura la référence...), Morgan le poussera à l'accepter. « Spence... On sait très bien tous les deux que tu finiras par m'en vouloir si je te demande de rester. On parle du CDC, une telle offre ne se présentera pas une deuxième fois, et tu en rêves depuis des années. » Il est vrai que pour lui, travailler en tant que virologue au près du CDC à Atlanta a toujours été un objectif professionnel à atteindre un jour et il s'est donné les moyens pour y arriver il faut dire. Mais il n'a pas réellement envie de devoir choisir entre Morgan et ce poste au CDC. Même si ce dernier semble déjà avoir fait le choix pour lui. « Puis comme ça Dotty t'auras enfin pour elle seule en plus... » C'est donc sur une méprise totale qu'ils finissent par se séparer, l'un n'ayant pas su exprimer réellement ce qu'il voulait lui dire en lui simplifiant le choix, l'autre pensant donc qu'il avait hâte de se débarrasser de lui pour ne plus avoir à supporter cette double vie par sa faute.

Pour oublier la douleur, Spencer se plonge corps et âme dans son nouveau boulot et par chance, sa première grande mission l'amène à l'autre bout du monde. Loin des yeux, loin du cœur dit bien le proverbe, nan ? Et bon, même s'il ne parvient pas à l'oublier totalement (comment le pourrait-il après tout), disons qu'il devient plus facile de ne plus trop y penser quand il a pour mission de sauver des vies et de faire avancer la science. Il a même quelques aventures, enfin lui les considèrent ainsi car cela n'a jamais réellement durer plus que quelques mois. Il ne veut plus s'attacher, il ne veut plus souffrir comme il a souffert et en général, quand il se décide pour ce genre de choses, il s'y tient. Pendant une décennie en tout cas, puisque le hasard veut qu'ils se retrouvent un jour dans le même hôtel à Hawaï, tous les deux présents pour deux congrès médicaux dans leurs spécialités respectives. Les retrouvailles sont comme qui dirait... cordiales. Et par là j'entends qu'ils finissent dans le même lit et qu'ils ne quittent pas la chambre durant deux jours. Avant de bien entendu, devoir faire face à la réalité qui les rattrapent lorsque vient le moment de retourner chacun à leur vie. Mais pas sans se faire une promesse avant de se quitter. De reprendre là où ils se voyaient contraints de laisser les choses entre eux, la prochaine fois qu'ils se retrouveraient.

Sauf que... ce jour n'est jamais venu pendant les quasi vingt années qui ont suivi... Spencer a en effet été du genre plutôt occupé, à parcourir le monde de long en large et en travers pour son boulot, son expertise étant très demandée sur pas mal de crises sanitaires au courant de cette période. Ça n'est que depuis quelques semaines qu'il a remis les pieds pour la première fois à Bennington, prenant le poste de directeur du centre médico-légal de la ville, son CV de virologue lui en ouvrant les portes sans trop de mal il faut bien le dire. Le poste se libérait de toute façon, et voulant se rapprocher de sa famille, son père commençant à décliner, la coïncidence était trop belle pour ne pas saisir l'occasion. Même si cela impliquait de se retrouver à nouveau à vivre dans la même ville que Morgan. Oh oui car il a toujours gardé un œil sur lui, on va dire, enfin plutôt une oreille, via sa sœur qui elle est toujours restée vivre ici et qui est, encore à ce jour, la seule personne qui connait la vérité sur la relation qui a uni le traumatologue et son aîné. Peut-être aussi celle qui a gentiment suggéré le nom de son frangin quand il a fallu commencer à chercher un remplaçant au vieux légiste en chef qui méritait sa retraite à 70 ans passés... Fallait bien que quelqu'un se charge enfin de mettre ces deux là à nouveau ensemble, puisqu'ils étaient tous les deux trop idiots (et surtout trop handicapés sentimentalement) pour y aller d'eux-mêmes.

crédits : Proserpine (avatar), King Rufus@tumblr (gifs)

Ton pseudo KΞNØB! -Hello there !-
Ton âge encore 38 balais pour l'instant
Ton pays la patrie des bretzels et de la bière !
Ton personnage est un inventé, encore une fois..
Faceclaim & origines
 Rufus Sewell - Anglaises et Galloises.
T'es arrivé ici comment
 par la porte d'entrée ?  :gêné:
Fréquence de connexion
 comme toujours, pour changer XD
Dernier petit mot vive les vieux !  :coeuryeux:


red_pants.
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