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Fiche Steven

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Message par red_pants. Lun 4 Mar - 15:47

so I'm gonna give all my secrets away
(secrets - one republic)
Steven Parrish

40 ansle 18 juin 1982 à Bennington, VermontgémeauxAméricaine$$$$$CélibataireGayDavid GiuntoliRésident en Traumato

homophobie (refoulement), prostitution,  maladie (cancer)

Delicious personality
CURIEUX: il a toujours été assez curieux de nature, de tout à vrai dire, y compris de tester les limites de son corps (on dénombre pas moins de 3 fractures étant enfant et pas mal de plaies au passage) et même encore à ce jour, il reste toujours en quête d'apprendre de nouvelles choses. DÉTERMINÉ: de la volonté, de la persévérance, de l'entêtement diraient certains même, il en a toujours eu; quand il se lance dans quelque chose, il ne le fera jamais à moitié et s'y tiendra, même si parfois, ça lui coûte comme notamment, d'avoir du mentir si longtemps à ses parents et ses proches. INTELLIGENT: trait allant de paire avec sa curiosité naturelle, c'est elle qui l'a rendu si brillant, lui a permis de s'en sortir en cumulant deux activités en parallèle, lui permet aussi d'assez bien cerné les gens aussi. DISCRET: même si parfois il a pas mal de répondant, au risque de le faire passer pour un type suffisant, Steven n'aime pas être sur le devant de la scène, pas quand ça touche à quelque chose de privé en tout cas, pas qu'il soit timide, mais disons qu'il a encore un peu de mal à se dire qu'il a le droit d'aimer qui il veut au grand jour. ORGANISÉ: pour réussir à gérer une double vie comme il a du le faire pendant aussi longtemps, il avait tout intérêt à l'être; du coup oui, en général, il va être très organisé, ponctuel et pour certaines choses, limite OCD comme par exemple comment vont être rangé ses fringues ou sa vaisselle; chaque chose à sa place, tout simplement... VIF D'ESPRIT: il a l'avantage d'avoir un cerveau qui fonctionne plutôt bien, et qui a la capacité de penser aussi en dehors des sentiers battus, ce qui l'aide pas mal dans la vie de tous les jours et qui sera bien utile pour impressionner son nouveau boss... GÉNÉREUX: toute sa vie durant, il n'a eu de cesse d'aider les autres, à son échelle certes, mais il est fait ainsi, sûrement son éducation qui veut que, ses parents lui ayant appris à être "un bon chrétien" puis avec son entrée chez les boy-scouts, ça n'a fait qu'empirer on va dire; il fera quasiment toujours passer les autres avant lui, comme il a pu le faire avec sa mère quand elle était malade. PROTECTEUR: ah ça, il est gentil de base, on ne le prendrait jamais pour un mec violent, mais prenez vous en à ses proches et vous verrez qu'il n'est pas aussi doux qu'un agneau malgré les apparences.


You don't know everything about myself, me.
Aime
LES ÉNIGMES: il a toujours aimé ça, pas surprenant de découvrir donc que son jeu préféré est sûrement encore à ce jour le Cluedo, oui, il aime ça, les puzzles, les énigmes, les escape games, bref tout ce qui stimule la cervelle. ÊTRE OCCUPÉ: le calme l'angoisse à vrai dire, l'oisiveté lui colle des boutons, c'est surtout parce qu'il lui faut toujours un truc à faire pour ne pas avoir certaines pensées qui lui viennent en tête. LES ANIMAUX: il a toujours aimé les animaux, il en a eu pas mal aussi, il en a côtoyés depuis toujours aussi, mais ces dernières années, vu son emploi du temps, il n'en a plus, pas le temps et ça lui manque mais bon, se porter volontaire au refuge ça compensera bien, pas vrai ? LES GROSSES CYLINDRÉES: son premier cadeau à lui-même, qu'il s'est offert une fois sa mère tirée d'affaire ? Une moto. Une Royal Enfield Himalayan, rien que ça oui, noir mat, bien plus classe comme ça.  LA PHOTO: pas réellement artistique s'il s'agit de dessin ou de bricolage, par contre, il a toujours eut un penchant pour la photographie; capturer un moment sur pellicule, il trouve ça beau et fascinant, comme si on volait un instant à jamais. LA CUISINE: soit la manger soit la préparer mais il aime ça, il ne se considère clairement pas comme un cordon bleu mais il se défend assez bien si besoin (vivre seul ça aide c’est ça ou crever de faim).

Aime pas
LES ON DIT/PRÉJUGÉS: oh il sait que les gens jugent au premier regard mais ça l'énerve que ça soit le cas, aussi d'entendre des bruits de couloirs et ce genre de racontars que les gens croient innocents mais qui le sont rarement. LA BIGOTERIE: je sais, ironique quand on a des parents comme les siens mais bon, comme dit, lui relève les incohérences flagrantes de certaines religions, et il voit comment certains utilisent la religion pour faire tout et n'importe quoi alors ça l'énerve dès qu'on essaie de lui faire la morale, puis forcément, vu sa sexualité, ça n'aide pas. SE SENTIR INUTILE: quand sa mère est tombée malade, il s'est senti comme ça, inutile, impuissant et on peut dire qu'il n'a pas spécialement aimé la sensation, encore et toujours ce côté boy-scout faut croire. LES FRUITS DE MER: déjà, il trouve l'odeur pas forcément agréable mais surtout, il est plus ou moins allergique à la plupart d'entre eux, ça lui colle des maux d'estomac pas possible donc il les évite le plus possible, surtout les huîtres.

Que pense ton personnage de la légende du Triangle de Bennington et des disparitions associées ?  Ces histoires là, il a grandi avec mais n'y a jamais réellement porté la moindre réelle importance avant de devenir adulte, même s'il connaît quelqu'un qui est lié à l'une des disparitions en la personne de Reed et sa famille. Mais pour lui, c'est avant tout une énigme policière, à laquelle il s'intéresse beaucoup à présent, d'un point de vue intellectuel car il se doute que tout ça n'est pas l’œuvre d'une créature légendaire mais plus d'un humain, particulièrement dérangé. On peut donc dire qu'il a une sorte de curiosité mal placée, un peu comme ceux qui sont fascinés par Jack l’Éventreur quoi, car il admet volontiers que pour faire ça, il faut une intelligence "supérieure" et c'est ça qui l'intrigue. Il n'ira pas jusqu'à enquêter lui-même par contre, pas le temps de toute façon entre sa résidence et le reste mais il reste alerte sur les derniers développements de l'enquête (ou plutôt le manque de développements en vérité).



The history is what we kept in memoriesSometimes you need a second chance, because time wasn't ready for the fisrt one - Unknown

Une vie banale, comme tant d’autres, c’est en tout cas comme ça que ça a commencé pour lui. Steven a vu le jour un beau matin de printemps, après avoir fait subir l’enfer à sa mère pendant près de 27 heures… Oui, il s’est comme qui dirait fait un peu désirer celui-là le jour de sa naissance. Déjà qu’il avait pris ses parents par surprise dès le départ, Adelaide ne pensant pas pouvoir tomber enceinte puisqu’elle prenait la pilule et qu’ils se protégeaient toujours avec Pierce. Et pourtant… Quand les nausées matinales ont commencé à s’installer, il a bien fallu se rendre à l’évidence… Ils ne prévoyaient pas d’avoir un enfant aussitôt mais bon, il était là, ils n’allaient pas s’en débarrasser (oui, tous les deux sont plutôt du genre croyants) et quand ils ont vu cette petite bouille leur sourire pour la première fois quelques heures après sa naissance, tout était déjà oublié. L’angoisse de réussir à subvenir à ses besoins, les heures de douleur pour le faire venir au monde, tout.

Comme dit plus haut, son enfance a été banale. Parents aimants, grands-parents complétement gagas de leur petit-fils, je ne vous refais pas le tableau, je crois qu’il est assez explicite. Steven est un gamin énergique, extrêmement curieux de tout (ce qui fatigue très vite ses parents d’ailleurs) et qui est toujours le premier à se lancer quand il faut faire une bêtise. En somme, un casse-cou casse-couille, comme aime à le répéter affectueusement son père. Non, il n’est pas un petit génie, non il ne s’ennuie pas à l’école, mais disons juste qu’il a la bougeotte. Voilà pourquoi lorsqu’on l’inscrit chez les boy-scouts, ses parents ont un répit, du moins pendant tout l’été. La course d’orientation, aider les autres, apprendre à se débrouiller dans la nature… Plutôt utile quand on habite dans un coin pareil et surtout, ça occupe bien les journées. Sans compter que le côté boy-scout va le suivre tout au long de sa vie, mais ça vous le verrez bien par la suite. Chaque chose en temps voulu.

Les années passent, petit Steven a grandi, et plutôt bien grandi même, passer comme le dit l’expression, de vilain petit canard à un beau cygne. Il commence même à faire tourner quelques têtes en entrant au lycée. Mais voilà, petit ‘’problème’’ si on peut appeler ça ainsi, c’est que l’été précédent, il a réalisé une chose en voyant l’un de ses moniteurs au camp…sortir de l’étang, sa chemise bien collée sur son torse. Et oui, Steven comprend, vu comment son corps réagi, qu’il est attiré par les hommes. Voilà pourquoi je parlais de problème pour le coup, parce qu’avec deux parents comme les siens, il se voit mal aller leur dire sans que ça ait certaines conséquences pour lui, dont il préfère se passer (pas franchement envie de se retrouver à la rue à même pas 16 ans). Du coup, l’année suivante, avec une amie, Rhea, ils décident de se mettre en couple. Je sais, vous vous demandez en quoi ça résout le problème ou s’il n’a pas viré sa cuti un peu trop vite le bougre. Mais non, pour la simple et bonne raison que Rhea elle aussi a un truc à cacher, sa propre sexualité. Voilà pourquoi l’idée est géniale pour eux. Ils se servent d’alibi mutuel et ainsi s’assure que leurs proches n’iront pas les emmerder sur le sujet. Une solution gagnant-gagnant quoi.

Enfin, pas tant que ça en vérité car l’illusion est justement presque trop parfaite. En effet, leurs deux familles les voient déjà se dire oui devant Madame la Maire d’ici quelques années… Voilà pourquoi, après un an à la fac (ils sont partis tous les deux étudier à Boston pour le coup, tous les deux ayant décroché une bourse), la rupture est officiellement annoncée et ils retrouvent chacun leur liberté. Après tout, c’est pas comme si cette relation était autre chose qu’une profonde amitié entre eux, que ces trois ans n’ont fait que renforcer d’ailleurs. Car bon, des deux enfants Mayfield, si Steven devait choisir lequel face à qui il pourrait dire oui, son choix se porterait plutôt sur le frangin… pour qui il a un béguin depuis quelques années déjà à ce stade. Faut dire qu’ils ont grandi ensemble, toujours dans la même classe à l’école, quasiment voisins et toujours chez l’un ou chez l’autre. D’ailleurs, cette proximité avec les Mayfield va être salutaire pour lui, plus qu’il n’aurait pu le penser.

En effet, trois semaines après avoir entamé le second semestre de sa deuxième année de médecine, Steven apprend la mauvaise nouvelle. Sa mère est malade. Et bien entendu, on ne parle pas ici d’un petit rhume. Les examens s’enchainent, les économies de ses parents s’amenuisent… alors il prend la décision de quitter la fac et de trouver un boulot au plus vite, histoire de pouvoir les aider car il ne veut pas les voir s’endetter à vie. Tant pis pour ses études, il aidera les autres autrement et surtout, il aidera sa mère et c’est ce qui compte le plus pour lui à ce moment là. De s’assurer que cette dernière ne refuse pas un traitement ou une chirurgie parce qu’elle pense à l’argent. Il trouve un poste de serveur, mais ça ne paie pas assez bien, surtout qu’il doit se loger seul maintenant, puisqu’il ne vit plus avec Rhea. Alors il essaie d’être inventif, trouver un moyen de gagner plus. Et là, le hasard va lui donner un petit coup de pouce… Enfin, c’est plutôt une femme qui va lui donner son numéro.

Un ange envoyé par la providence, enfin c’est ce qu’il dirait si comme ses parents, il était du genre croyant (ce qu’il n’est plus et ça depuis longtemps déjà). Une religion qui prône le « aimez-vous les uns les autres » mais qui derrière rejette une partie de ses pratiquants parce qu’ils aiment pas les bonnes personnes, ça passe mal pour lui. Bref. La femme en question était une habituée du café, il l’avait déjà remarqué. S’il n’aimait pas les hommes, il serait tombé aisément sous son charme, il faut dire qu’elle a de l’allure et une classe évidente. Il comprendra très vite pourquoi il avait cette impression là à son égard. Et il accepte aussi sa proposition, sans hésiter. Sa mère avait besoin d’aide, ce qu’il devait faire pour qu’elle l’obtienne, il s’en fichait bien. Puis un job c’est un job, pas vrai ? Tant que ça paie… Les états d’âmes, il n’avait pas réellement trop le luxe d’en avoir.

Voilà donc comment Steven devient escort pour la belle brune, pour des clients haut de gamme, ce qui explique pourquoi il a dit oui. Ca paie bien, extrêmement bien même et puis la plupart de ses clients ne sont pas si différents : plutôt classe, distingués, influents même, mais surtout, comme lui fut un temps, encore (bien profondément en général) dans le placard. Ainsi donc, pendant quelques années, Steven va donc mener cette double vie, qui permet de payer tous les frais médicaux de sa mère sans qu’elle et son père ne finissent à la rue. Oh il a du leur mentir, à eux et à tous en vérité, sur comment il le gagnait vraiment cet argent, mais il s’en fout. L’essentiel c’est qu’au final, sa mère a été soignée, pour le reste comme dit, il dort très bien la nuit avec sa conscience, puis damné pour damné, autant qu’il profite de l’argent durement gagné à la sueur de ses (reins) mains.

Quant au fait que la proximité avec les Mayfield fut pour lui providentielle, c'est que pendant sa convalescence, sa mère a pu suivre des séances d'équithérapie au ranch tenu par ces derniers. D'abord en les cotoyant, s'occupant d'eux pour les brosser majoritairement, leur donner à manger le temps que son corps récupère évidemment, avant de pouvoir monter à nouveau. Steven revient assez régulièrement à Bennington pour la voir, et déposer anonymement de l'argent sur le compte à ses parents... et du coup, il croise aussi souvent Reed quand il vient au ranch. C'est toujours un peu étrange pour lui de le revoir, son crush pour lui remontant à la surface aussitôt qu'il l'aperçoit n'aidant pas, on s'en doute. Mais tous les deux persuadés que l'autre n'est pas intéressé, forcément, il ne se passe jamais rien et ce malgré une tension évidente. Que remarque d'ailleurs Adelaide... Un beau gâchis moi je vous le dis...

C’est donc à la trentaine bien entamée qu’il se décide à reprendre ses études de médecine. Il a accumulé un bon petit pactole durant la décennie où il a travaillé pour Ornella après tout. De quoi payer la fac sans avoir à prendre un prêt. Rassuré vous, il n’est pas devenu un connard arrogant pour autant. Il a de l’argent oui, mais il n’a pas pris la grosse tête. Son côté boy-scout ne l’a jamais quitté et il compte bien aider les gens un jour comme l’ont fait les médecins qui se sont occupés de sa mère. Bon, pas toujours facile de gérer les cours et son activité nocturne, mais il y parvient tant bien que mal. Histoire de continuer à s’assurer d’avoir les moyens de se payer ses cours et de garder un toit relativement décent sur la tête quoi. Il ne mène pas grand train. Trop dangereux, ça attirerait les suspicions et puis c’est pas son genre. Il est quelqu’un de simple, même s’il a appris à passer pour bien plus raffiné avec le temps. Mais ça fait partie du ‘’boulot’’ ça, si on peut dire.

Internat achevé, il est à présent temps de se choisir une spécialité. Et contre toute attente, Steven choisi la traumatologie… Pourquoi ? Parce qu’il trouve ça fascinant, comment on peut casser le corps humain pour mieux le réparer. Et il a fait son boulot avant de postuler, en cherchant l’une des plus grandes sommités dans le domaine. Qui se trouve être à…. Bennington, en la personne d’un certain Dr. Rosenberg. Voilà comment et surtout pourquoi, il revient s’installer définitivement dans sa ville natale, histoire de rejoindre le programme de résidence de ce cher Grincheux. Et comment dire, il a très vite été repéré par ce dernier, et pas forcément pour les raisons que l’on croit car oui, il est le seul dans le troupeau à ne pas avoir peur de lui. Ce qui irrite passablement le chirurgien d’ailleurs, il l’a bien remarqué et je dirais même, qu’il s’en amuse. Mais les deux hommes sont bien plus semblables qu’ils ne le pensent en vérité, sans doute aussi pourquoi ça a l’air de clasher si souvent entre eux. Et c’est d’ailleurs ces similarités qui vont finir par leur être bénéfiques à tous les deux… Mais je n’en dis pas plus, la suite de leurs aventures n’est pas encore écrite après tout… puis si je vous dit tout maintenant, où serait le fun ? Comme on dit… SPOILERS !!!

crédits : Proserpine (avatar); bunchofgifhunts/eternalroleplay (icons & gifs)

Ton pseudo KΞNØB!
Ton âge les 39 berges se rapprochent...
Ton pays L'Alsace (oui on est un pays XD)
Ton personnage est un inventé (pour changer hein XD)
Faceclaim & origines
 David Giuntoli - Origines italiennes, polonaises et allemandes.
T'es arrivé ici comment
 toujours pareil lol
Fréquence de connexion
 aussi souvent que possible, comme toujours.
Dernier petit mot les DC c'est taboo, on en viendra (jamais) à bout !!  Arrow


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