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Fiche Teddy Bennington

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Message par red_pants. Lun 4 Mar - 15:45

twisting your mind and smashing your dreams
(master of puppets - metallica)
Teddy Porter

43 ansné le 13 juillet 1980 à la Nouvelle-OrléansCancerAméricaine$$$$$En "faux" couplePansexuelPio Marmaï"Chef Cuisinier" (Arnaqueur)

manipulation; comportement malsain (addiction au jeu, problème de dettes, etc); fat/body shaming, activités illégales (arnaque/escroquerie/abus de faiblesse)

Delicious personality
Bon, vu la situation, ça risque d’être un peu compliqué, vu que je vais parler à la fois de Teddy, le vrai, mais aussi celui pour qui il est en train de se faire passer, mais dans le fond, ils sont la même personne, c’est bien pour ça que le mensonge fonctionne si bien, parce qu’il n’a pas réellement besoin de mentir et de changer pour maintenir l’illusion (talent hérité de son père).

Theodore est un type bon. Oui je sais, vous allez me dire que vu ce qu’il est en train de faire, c’est un peu gros que je dise ça mais non, il est quelqu’un de bien, qui pense aux autres quand même, qui essayera toujours de s’en sortir sans causer le moindre mal, à vouloir aider s’il le peut, c’est juste que l’influence de son père sur lui est trop forte et qu’il a abusé de sa gentillesse, justement. Drôle, il a le sens de l’humour hyper développé, si on peut dire. Il va être du genre à sortir le bon jeu de mots au bon moment, à savoir faire rire d’un rien, puis avec ce visage merveilleusement expressif qu’est le sien, il sait très bien s’en servir pour grimacer ou imiter les autres. Franc et entier, il a du caractère, ça c’est une évidence et il n’a pas peur de le montrer en général. Après on aime ou on aime pas, mais il n’a pas la langue dans sa poche et il a une affection particulière pour les jurons aussi… Il ne manque jamais d’imagination aussi, ce qui est assez utile dans l’arnaque, ça aide à se sortir de pas mal de situations, on va pas se le cacher ou à trouver des mensonges crédibles quand il le faut. Ça permet aussi de ne pas tomber dans les clichés trop facilement, niveau drague et compliments. Oui de manquer d’inspiration en cuisine, évidemment. Charmant charmeur, il a de la gouaille, il le sait, il sait en jouer et ça compense un peu, si on peut dire, le domaine où ça pêche un peu plus selon lui, le physique. Il sait qu’il est loin d’être désagréable à regarder mais ça pourrait aussi être mieux -à comprendre, s’il faisait une dizaine de kilos de moins-. Débrouillard, il bricole et touche à tout, ça dépanne bien puis ça peut toujours servir. Il l’est aussi pour d’autres domaines… Protecteur, il est comme son homonyme, du genre à sortir les griffes pour défendre ceux à qui il tient et ça peut vite mal tourner d’ailleurs car il n’hésitera pas à devenir violent si besoin. Gentil le teddy bear mais comme tout le monde il a ses limites. Généreux, il est un bon vivant, qui aime la bonne chère, les bons petits plats, les repas entre potes, et qui préfèrera toujours ça à la sobriété, après tout le gras c’est la vie y paraît… Même s’il n’en donne pas l’air et qu’il réussi à tromper son monde, il est du genre à douter de lui, il n’a pas encore tout à fait tourner la page sur sa période adolescente et les traumas qui vont habituellement avec. Attachiant, oui, c’est clair que c’est un personnage, il ne s’en cache pas le moins du monde, mais il est malgré tout adorable et affable, on ne peut m’empêcher de l’aimer, cet espèce d'ours mal léché.

You don't know everything about myself, me.
Aime
la bonne cuisine (surprenant je sais), française ou italienne surtout + le bon vin + prendre des bains de mousse + les gaufres liégeoises, chocolat fondu et chantilly dessus évidemment + les animaux, surtout les chiens, il aimerait en avoir un un jour + les jeux de société + les vieux films, genre années 60-70 (genre les Terrence Hill & Bud Spencer) et grands classiques plus récents, comme Indiana Jones et les Star Wars + l'odeur de l'oignon qui dore, ça lui rappelle la cuisine de sa grand-mère + la cannelle, il adore les spéculoos aussi pour la même raison + les grasses mat, quand il peut se le permettre + son métier, celui de cuisinier on s'entend, pas l'autre + les motos au style plus ancien, genre les Royal Enfield + ne pas avoir à se raser tous les matins, puis la barbe ça lui va bien non ?

Aime pas
les insomnies, tourner et tourner dans son lit sans pouvoir fermer l’œil ça le rend cinglé + le mensonge; je sais, ironique quand on fait ce qu'il fait mais il évite d'en dire sauf si c'est absolument nécessaire + les gens qui se pensent au-dessus des autres parce qu'ils ont du fric + l'influence qu'a (encore aujourd'hui hélas) son père sur lui même s'ils ont coupés les ponts + qu'on le dérange quand il cuisine, surtout si c'est pour ne rien dire ou l'emmerder + son reflet dans le miroir; ça pourrait être pire, mais ça pourrait être mieux aussi + le repassage, c'est chiant, c'est long et il fini toujours par avoir un faux pli quand même donc ça le gonfle + les pizzas hawaïennes; oui cette abomination culinaire (n'ayons pas peur des mots) ne devrait pas exister selon lui.

Que pense ton personnage de la légende du Triangle de Bennington et des disparitions associées ?   Alors en toute franchise (ironique je sais pour un arnaqueur), il n'en a mais absolument rien à carrer. Ça ne le concerne pas directement, c'est triste comme histoire, ça y a pas à dire évidemment mais il s'en cogne. Il est là pour une chose et une seule, remplir sa mission. Le reste, il ne s'en préoccupe pas, sauf si ça peut éventuellement lui servir et là, non, c'est pas réellement le cas donc il n'y prête pas la moindre attention et puis son autre "vrai" faux boulot lui prend du temps aussi, donc il a mieux à faire que de penser à ces affaires de disparitions, aussi fascinantes soient-elles.


The history is what we kept in memoriesThe best liar is he who makes the smallest amount of lying go the longest way. - Samuel Butler

Ah les liens du sang, l'héritage génétique... vaste sujet qu'on a là, sur lequel on peut aisément dire tant de choses. Comme par exemple que oui, en général, les chiens ne faisaient pas des chats, que les liens du sang peuvent être plus forts que tout et à la fois la pire chose qui soit et j'en passe. Vous vous demandez sûrement où je veux en venir par là, à attaquer le récit de son histoire ainsi, mais c'est nécessaire pour poser le fil d'Ariane de cette histoire justement. Car si son père avait été n'importe qui d'autre que le sien, le pauvre Theodore ne serait certainement pas arrivé là où il en est aujourd'hui...

Samuel est un filou, pas un type bien mais le problème, c'est qu'il sait très bien mentir et qu'il a de la gouaille et une belle gueule. Le combo idéal pour séduire les jeunes filles trop crédules en quête du Prince Charmant. Il en a tout l'air lui, c'est vrai, il a les manières, le phrasé, mais c'est bien là que le bas blesse, c'est qu'il n'en a que l'air. Car derrière cet écran de fumée élaboré, se cache un escroc imbu de sa personne, qui est un joueur invétéré doublé d'un salopard. Du genre à penser que la place d'une femme est dans sa cuisine, à la fermer et à lui faire de bons petits plats tout en satisfaisant tous ses besoins. Ouais, il craint en vrai hein, le Prince Charmant. Mais la petite Camille se laisse avoir par son numéro de charme. Elle qui arrive de sa France natale, venue s'installer chez sa grand-mère, ex-pat française elle aussi et qui possède un restaurant dans le Quartier Français de la Nouvelle-Orléans. Après seulement deux mois, ils vivent ensemble, après un an, il lui passe la bague au doigt -qu'il a gagné à une table de poker- et quelques mois plus tard, naîtra Theodore.

Camille aime être maman, elle a toujours voulu l'être et son fils est si adorable, qu'elle serre les dents et laisse son cher mari dilapider le peu d'argent qu'elle se fait en gardant les gamins des autres voisines qui, elles, vont travailler. Il lui promet qu'elle pourra le faire aussi, quand le petit sera plus grand et qu'il n'aura plus besoin d'elle sans arrêt et trop amoureuse, elle le croit. Sauf qu'elle n'en aura jamais le temps. Non, parce que Samuel trouvera toujours une excuse pour la retenir, il en trouvera même une quand il expliquera au petit Theodore pourquoi dorénavant il ne verrait plus sa mère, après qu'ils soient passer à l'hôpital pour la voir une dernière fois, fauchée par une voiture un soir et plongée dans un état de mort cérébrale: "Ta mère aurait du faire plus attention, je lui avais dit de ne pas sortir de la maison. Mais il a fallu qu'elle aille te chercher ces fichus pancakes..."

Voilà comment Theodore se retrouve donc seul avec son père alors qu'il n'a que 9 ans et qu'il va aussi développer un drôle de rapport avec la nourriture. Car par chance, sa grand-mère, Lucienne, le prend sous son aile. Samuel ne veut de toute façon pas l'avoir dans les pattes quand il monte ses arnaques -bah oui, un mouflet ça vend pas du rêve- et ses petits projets illégaux. C'est donc elle qui lui redonne le goût de la bonne chère en lui faisant découvrir la cuisine française, à la sauce cajun, évidemment ! Et qu'elle lui fait passer le blocage qu'il avait cultivé rapport aux pancakes suite à la mort de sa mère. Son ange gardien sa grand-mère, littéralement car c'est elle qui fait que l'emprise que Sam commençait à cultiver sur son fils n'ira pas plus loin. Elle veillera sur lui tant qu'elle le pourra, puisque sa fille ne pouvait plus le faire et ça sera son salut, dans un premier temps en tout cas.

Theodore grandit donc de façon relativement normale et épanouie, il se révèle être aussi doué que sa grand-mère pour la cuisine et traîne dans les siennes après l'école tous les jours, l'observant et l'aidant comme il peut tout en écoutant son grand-père joue du jazz avec son groupe dans leur restau. Bon, il y traîne peut-être un peu trop même car il goûte à tout et prend un peu de poids mais rien d'alarmant non plus. Lucienne préfère le voir avec un peu de lard en plus qu'avec les os sur la peau, comme elle le dit si bien. Ça lui posera un petit peu plus de souci quand l'adolescence et ses affres vont frapper mais il se mettra au sport, notamment grâce à une jolie jeune fille nommée Cassie -son premier crush-, qui faisant presque une tête de plus que lui, pratique le basket elle aussi.

Le lycée enfin terminé, vient le temps des décisions et lui décide qu'il reprendrait bien le restaurant de sa grand-mère quand celle-ci sera prête à lui passer le tablier un jour. Sauf que ça, son père, ça ne l'arrange pas. Lui veut le voir faire un boulot assez vite, histoire qu'il puisse venir lui siphonner du fric en le manipulant lui aussi, jouant sur la corde sensible de son fils, lui bourrant le crâne avec des bêtises, les mêmes qu'il avait utilisées sur sa mère des années plus tôt et une fois de plus, c'est Lucienne qui s'interpose. Elle refile de l'argent à Theodore pour qu'il parte en Europe -de quoi tenir quelques mois-, elle ne lui mâche pas tout, il allait devoir se démerder seul là-bas pour se trouver où crécher et un boulot, mais elle sait son petit-fils débrouillard et ayant du bagou, alors elle sait qu'il s'en sortira, tant qu'il est loin de l'influence malsaine de son père sur lui. Et elle a raison.

Donc pendant quasi une dizaine d'années, notre cher Teddy -surnom qu'on lui donne à son arrivée en France- va bourlinguer en Europe, bossant comme commis dans plusieurs grands restaurants. Il allie deux de ses passions, les voyages et la cuisine, faisant pour ne citer que ça, les grandes villes comme Rome, Madrid, Paris, Berlin, Amsterdam et compagnie comme des destinations plus anonymes comme quelques villages sur la côte grecque. Ah... être jeune et avoir l'avenir devant soi... Sauf qu'à nouveau, l'avenir va lui jouer un mauvais coup, le pauvre. C'est au tour de Lucienne de disparaître. Il apprend son décès après coup, quand il reçoit un appel de son grand-père, car son père ne pense même pas à le prévenir, surtout que ça n'est pas dans son intérêt que son fils revienne. Comment continuerait-il de pomper son héritage sinon ? Theodore rentre donc au bercail, principalement pour rendre ses hommages à sa grand-mère, celle qui l'a élevé et lui a tout appris ou presque. Il ne comptait pas s'éterniser après les obsèques, mais comme toujours, les conneries de son père vont finir par le rattraper lui aussi, parce qu'il restait son père et la seule famille qui lui restait encore. Trop bon trop con, il a encore le fol espoir que son père pouvait changer.

Voilà comment il se retrouve à jouer les partenaires de fortune de son paternel dans une première arnaque. Lui a pris de l’âge, il a mal vieilli -les excès en tous genres n’ont pas aidé- alors il passe pour ainsi dire, le bâton à son fils qui lui n’est définitivement plus l’ado un peu timide avec quelques petites rondeurs mais qui faisait rire les filles. Ça, il l’a gardé, ajoutez à ça un regard qui vous fait fondre et ses talents derrière un fourneau, c’est la recette gagnante pour séduire des jeunes femmes en mal d’un Prince Charmant. Pourquoi accepte-t-il ? Parce qu’il a fait jurer à son père qu’une fois la dette qu’il a contractée avec ce type louche payée, il sortirait de sa vie à jamais. Moyennant, bien entendu, sa part du fric pour ça. Et le pire dans tout ça, c’est que Theodore arrive à mentir facilement, ça lui vient pour ainsi dire de façon naturelle. Tel père, tel fils… Et cette idée là le travaille un petit moment pour le coup. Il n’est pas vénal de base, il s’est toujours contenté du peu qu’il avait avec sa grand-mère, mais il rêve de s’offrir son propre restau un jour et ça, c’est un projet qui coûte cher… et l’arnaque, ça paye si bien… Voilà pourquoi, depuis trois ans, tout en continuant à mettre de côté et à travailler dans un grand hôtel à New York comme sous-chef, il a pour ainsi dire poursuivi l’héritage paternel dont sa grand-mère ne voulait pas pour lui.

Et récemment, un type est venu le trouver, grâce au bouche à oreille on va dire, comme il s’est fait une certaine réputation de briseur de cœur dans le milieu, pour qu’il aille séduire une jeune femme, afin qu’elle subisse le même sort que lui: se faire abandonner devant l’autel. Oui, il s’agit de l’ex-fiancée de la demoiselle, touché dans son égo au point de vouloir blesser en retour. Pourquoi il accepte ? Pour deux raisons: l’argent, on s’en doute, il compte toujours ouvrir son restau après tout et il approche du but, et surtout, parce que l’identité qu’il doit assumer lui fait toucher ce rêve-là du doigt. En effet, son “client” lui a négocié un poste de chef cuisinier. Puis comme dit, il ne compte pas s’attacher à qui que ce soit, il n’est là que pour remplir un contrat. Il a depuis longtemps mis au rebut l’idée de réellement tomber amoureux et c’est pas faute d’avoir essayé, que ce soit avec un homme ou une femme. Mais non, y a jamais eu le déclic. Il sait pourtant le feindre ce déclic-là: le sourire idiot d’amoureux transit, les bonnes manières dignes d’un Prince William et les compliments dit avec les yeux et d’une façon telle, qu’elle vous ferait bien croire aux contes de fées.

Cela fait donc quatre mois à présent, qu’il est arrivé à Bennington, prenant ses quartiers au Tap House et en ville, et il ne tarde pas à mettre son plan à exécution. Méthodique dans sa façon de faire, il ne se précipite pas, histoire de ne pas mettre la puce à l’oreille puis ça lui plaît lui, d’être enfin chef de son restaurant, même si ce n’est pas réellement le sien. Sa “cible” est plutôt jolie en plus, pas dénuée de cervelle et a un sacré tempérament. Ça le change même de son “type” habituel, plus ingénue et plan-plan, ça lui fait du bien. Sauf que, ce qui n’était pas réellement prévu au programme, c’est que son frère débarque dans le décor. Oh il était au courant de son existence oui, il bosse ses affaires avant, vous pensez bien, mais il ne prévoyait pas qu’il soit aussi… beau gosse et à son goût. Non, vraiment, ça il ne l’avait pas vu venir et ça le déboussole pas mal, faut bien le dire. Parviendra-t-il à remplir sa mission ou va-t-il suivre son cœur, celui qui bat encore sous cette armure d’ours mal léché qu’il a porté depuis trop longtemps déjà ? Hum… ça, seul l’avenir nous le dira... Mais je dirais cependant ceci pour vous donner un petit indice... Tel est pris, qui croyait prendre...

crédits : Proserpine (avatar), Google (icons)

Ton pseudo KΞNØB!
Ton âge toujours le même.
Ton pays Elsäss fraü !!
Ton personnage est un inventé, pour changer.
Faceclaim & origines Pio Marmaï - allemandes (alsaciennes, représente lol), françaises et italiennes
T'es arrivé ici comment toujours pour la même raison, j'ai suivi ma chère et tendre moitié XD
Fréquence de connexion  passage normalement quotidien, pour le rp ça dépendra de l'irl.
Dernier petit mot Que j'emmerde personnellement Pio et Romain, voilà...  :drama:   fallait que ça sorte ...


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