Fiche Bellamy Bennington

par **red_pants.** Lun 4 Mar - 15:41

Code:: <link href="https://fonts.googleapis.com/css?family=Anton|Roboto+Mono&display=swap" rel="stylesheet"><div class="fichepres1"><div style="padding: 5px;border-width: medium; border-top: 1px solid #D4DAE1;text-align: center; color: #55747E; font-style: italic; font-weight: 800; letter-spacing: 3px; font-family: montserrat; text-transform: lowercase; font-size: 9px;">[color=#631D15]gotta keep believing, this is why I'm breathing<br/>(the fire within - within temptation)[/color]</div><div class="pres-0"><img class="ficheimg-0" src="https://i.imgur.com/2BpFYzs.jpeg"><fiche1>Bellamy Armstrong</fiche1></div> <div class="pres-1"><img src="https://64.media.tumblr.com/7676ac5ae7954e35c7a8104e0958db8c/7467328ae6086535-09/s1280x1920/9743d77e1926f23041b45504eb757b7e94768ba1.png"><div class="descri-pres"><id1>45 ans</id1><id1>14/05/78, Bennington</id1><id1>Taureau</id1><id1>Américain</id1><id1>[u]$$$$$[/u]</id1><id1>Célibataire</id1><id1>Bisexuel</id1><id1>Romain Duris</id1><id2>Directeur d'une école de danse, professeur et chorégraphe</id2><br></br><center><tw>mention de troubles du comportement alimentaire</tw></center><br/><fiche2>Delicious personality</fiche2><br>Bellamy est un homme [b]affable[/b], toujours le [b]sourire aux lèvres[/b], quelles que soient les circonstances. N'y voyez pas de l'hypocrise, mais plus du [b]contrôle[/b]. Le contrôle, c'est ce qui l'anime depuis toujours ou presque. Assez paradoxal pour un danseur qui doit lâcher prise. Oui, mais lâcher prise, ça se contrôle. Du moins, c'est comme ça que lui fonctionne. La danse est un mouvement perpétuel, certes, mais les gestes et les mouvements sont précis et donc contrôlés. C'est pareil dans la vie de Bellamy. Lorsqu'il ne danse pas, il a bien du mal à lâcher prise ou alors il le cache bien. Sûrement son éducation qui veut ça, avec des parents, aimants certes, mais qui lui ont appris à être toujours dans la [b]retenue[/b]. Cela ne l'empêche pas d'être un homme [b]passionné[/b], il suffit de le voir parler de danse, il pourrait vous tenir le crachoir pendant des heures. Mais pas seulement pour son art de prédilection, non, Bellamy reste un homme passionné dans l'âme. [b]Dévoué[/b] également, à son travail et à ceux qui l'entourent, il est prêt à mettre en suspens ce qu'il fait pour [b]venir en aide[/b], vous pourrez toujours compter sur lui en cas de soucis. Assez [b]romantique[/b], c'est un homme amoureux de l'amour, amoureux de ce qu'on peut ressentir lorsque l'on est épris de quelqu'un. Il n'est pas séducteur pour autant, il laisse ça pour les autres, lui, [b]préfère être séduit[/b]. Plutôt [b]indépendant[/b], [b]solitaire[/b] parfois, il aime passer du temps seul car même s'il apprécie la musique, il aime également le silence. Le silence qui l'apaise, qui l'aide à réfléchir et à faire le point sur sa vie. D'[b]humeur souvent égale[/b], il n'élève jamais la voix, [b]jamais il n'a un mot plus haut que l'autre[/b] et il [b]préfère s'éclipser lorsque le ton monte[/b], notamment avec sa soeur. Si Margot est toujours en train de chercher la confrontation, Bellamy, lui, préfère s'y dérober, ayant [b]trop peur de s'affirmer[/b] et des répercussions qui en découleraient. </div></div> <id3>You don't know everything about myself, me.</id3> <div class="pres-2"><div><fiche2>Aime</fiche2> Regarder les couchers de soleil, emmitoufflé dans un plaid - L'odeur du café le matin - Aller danser très tôt le matin ou tard le soir - Les comédies romantiques, oui c'est un péché mignon… - Les chats, à cause de leur grâce naturelle, forcément il sait de quoi il parle. Il en a d'ailleurs deux, Otello et Iago - Passer quelques jours à New-York, malgré son attachement à Bennington, il aime beaucoup cette ville qui lui a littéralement tout donné - La France, le pays de ses origines. Il a failly s'y installer, mais ça ne s'est jamais fait. Parfois il y pense avec nostalgie - La musique, quelle qu'elle soit. Classique évidemment pour danser, mais pas que, vous seriez étonnés de voir sur quoi on peut réaliser des balancés. <fiche2>Aime pas</fiche2> Le fromage, s'il y a bien une chose qu'il n'aime pas de la France, c'est bien ça. Ça pue et ça fait grossir - Le réflexe qu'il a, parfois, de contrôler ce qu'il mange. C'était une véritable obsession lorsqu'il était encore à New-York, une habitude qu'il a perdu, mais qui revient à la charge par moments, allez savoir pourquoi - Cette guerre puérile que sa soeur a instauré entre eux, une guerre qui dure depuis plus de trente ans. Si lui a envie de passer à autre chose, elle, continue à alimenter cette dualité. <fiche2>Que pense ton personnage de la légende du Triangle de Bennington et des disparitions associées ? </fiche2>Bellamy trouve l'histoire de ces disparitions assez tristes. Et puis, il en a toujours entendu parlé, depuis qu'il est gamin, c'est dire à quel point on lui rabache les oreilles. Il n'est pas concerné, de près ou de loin par ces disparitions, donc cela n'a pas d'impact sur sa vie et on ne peut pas dire qu'il soit très inquiet. Le mystère qui plane tout autour ne l'intéresse pas plus que ça à vrai dire, il n'est pas de ceux qui suivent l'enquête de près. Il espère juste qu'un jour, cette histoire sera résolu et qu'on retrouvera les derniers disparus, le reste il s'en tape. <img src="https://i.imgur.com/ggl3CbD.jpeg"></div></div><br/><div class="pres-4"><img src="https://i.imgur.com/HIsw51X.jpeg"> <div class="descri-pres4"><id4>The history is what we kept in memories</id4><em>Citation - Auteur.ice de la citation</em></div> <span>Bellamy est le premier enfant de Maggie et de Richard Armstrong, un couple bien installé ici, à Bennington. Richard est le fondateur et propriétaire d'une des plus grosses scieries de la région. Le bois qui a servi à la fabrication de vos meubles vient très certainement de leur entreprise. En même temps, il y a de quoi faire dans le coin. Le Vermont étant un état très boisé, Richard Armstrong ne sait pas tellement planté en décidant de faire fortune dans le bois. Les affaires marchent fort et ce, dès le début, ce qui fait du couple, l'un des plus affluents du comté. Bellamy pointe le bout de son nez quelques années après l'implantation durable de l'entreprise et c'est donc avec fierté que Richard lui octroie 10% des parts de son entreprise le lendemain même de sa naissance. Il en fera de même, trois ans plus tard à la naissance de Margot, sa fille. Bellamy et Margot, une grande histoire d'amour. Un amour vache on va dire, dès le début. Si Margot était la cadette, cela ne l'empêchait pas de passer beaucoup de temps avec leur père, devenant ainsi, la fille à son papa et elle ne s'en cache pas. Si elle désire quelque chose, Richard le lui donnera. Margot veut un poney ? Alors Margot aura le plus beau poney. Margot veut aller faire du manège ? Alors elle ira faire cinq tours de manège. De son côté, Bellamy ne s'en préoccupe que très peu, il ne ressent même pas de jalousie car il n'a besoin que d'une seule chose : des livres et un peu de musique. Si Margot est matérialiste, lui se contente de peu. Si Margot aime être dans la lumière, lui a juste envie qu'on le laisse tranquille dans sa petite bulle. C'est à la télé qu'il découvre Casse-Noisette, le soir de Nöel de ses cinq ans. Totalement subjugué par les danseurs et danseuses sur scène, Bellamy fait savoir qu'il veut faire la même chose. Richard est très réticent, qu'on se le dise. Qu'un de ses enfants danse, d'accord, mais son fils aîné ? Finalement, c'est Maggie qui le convaincra, pour le plus grand bonheur de leur fils qui commence donc la danse classique dès la rentrée. Le garçon s'épanouit dans la danse, littéralement. Lui qui était si réservé auparavant, s'ouvre un peu plus aux autres en cotoyant des danseurs, comme lui. Et Bellamy est doué, sacrément même. Il a commencé la danse tellement jeune que les gestes et mouvements s'ancrent facilement dans sa tête et surtout, dans son corps. Après un an de cours, les autres enfants de son cours et lui-même, font un petit spectacle : Casse-Noisette. C'est la confirmation pour Bellamy, qui, du haut de ses six ans, comprend qu'il est fait pour ça et qu'il fera, un jour, de la scène. Il est certes jeune, mais il est déjà sûr de lui et la tête sur les épaules. La danse est un art qui demande du travail et de la maturité, c'est donc très vite que Bellamy mûrit et grandit. Les années passent, il se perfectionne devient encore plus bon que l'année d'avant, bref il est a ça dans le sang. Lui est peut-être sûr de son avenir, son père, un peu moins. En effet, Richard a déjà des plans pour ses enfants : former Bellamy et le placer à la tête de l'entreprise avec Margot comme bras droit. A aucun moment il n'aurait pensé -malgré les indices- que son aîné veuille faire de la danse, son activité principale. Pour Richard, la danse n'était qu'un loisir comme un autre, pas un métier. Alors l'adolescence est le début d'un affrontement sans fin entre le père et son fils. Margot n'arrange rien puiqu'elle se range du côté de son père, dénigrant presque le don de son grand frère. Maggie, elle, n'ose pas s'en mêler ayant peur des représailles. C'est Amelia, la tante de Bellamy, la soeur de Richard, qui débloquera la situation. Habitant New York, elle vient de temps en temps à Bennington pour voir son frères et ses enfants et depuis le début, elle suit les progrès de son neveu. Amelia est l'une des seules à le soutenir et ce sera grâce à elle que Bellamy percera vraiment dans le milieu. Toute aussi influente que son frère, mais plus dans le milieu de la mode, elle fera venir une troupe de danse classique à Bennington pour une représentation au théâtre. Cette troupe rendra visite aux jeunes danseurs du cours de Bellamy et c'est ainsi que des professionnels le repèrent et lui propose d'intégrer le ballet de New-York. Comment refuser une telle proposition ? Lui en tout cas, ne le fera pas. Il est à peine majeur, certes, mais il est sûr de lui. Richard pourra dire ce qu'il voudra, Bellamy ira à New-York. Les débuts sont difficiles, on ne va pas se mentir. L'entrainement est intensif et les heures s'enchainent pour commencer. Et puis Bellamy n'est pas forcément parti en bon terme avec son père, mais aussi sa soeur. Margot lui reproche de l'abandonner, rien que ça. Malgré le fait qu'elle soit proche de son père, voir son frère partir ne lui plait pas et elle vit cela comme un abandon. Coup dur pour le danseur qui, de son côté, lui en veut de lui reprocher une chose pareille alors qu'elle n'a jamais rien fait pour le soutenir. Bellamy décide alors d'ignorer tout cela pour suivre au mieux sa formation. Il ne retournera pas à Bennington avant deux ans, mais il enverra trois places pour un ballet donné par la compagnie. Richard et Maggie viendront et verront leur fils danser, se rendant enfin compte de son potentiel. Margot, elle, ne se donnera pas la peine de venir. Après plusieurs années d'entrainement intensif, ça paye. Bellamy devient un des danseurs principaux du ballet de New-York et entame une tournée internationale. Moscou, Athènes, Sydney, mais surtout Paris. Pays de ses origines, Bellamy adorera y jouer, notamment dans le bel Opéra Garnier, sûrement l'un de ses préférés. On lui proposera d'ailleurs, de faire carrière en France, mais il déclinera l'offre, trop attaché à son Vermont natal. Les ballets, les tournées s'accumulent, mais Bellamy tient le coup. Jusqu'à ses 35 ans où il comprend qu'il était temps pour lui de raccrocher les pointes. Aucune blessure ne l'y encourage, mais il sait qu'il est heure pour lui de laisser sa place. Retour à Bennington, Bellamy se laisse un peu de temps pour se reposer notamment après une tournée de deux ans. Si Richard et Margot pensent qu'il va enfin intégrer l'entreprise, ils se trompent. Non, Bellamy a déjà tout prévu. A l'aide de ses économies, il va ouvrir sa propre école de danse, la Little (M)apple Company. Petit jeu de mot autour de la ville qui l'aura vu s'épanouir et le produit phare de l'entreprise de son père, le sirop d'érable. L'ancien danseur de ballet a les économies qu'il faut pour se lancer, mais il n'a pas le droit à l'erreur. Sa petite renommée l'aide à se lancer et un an après l'ouverture de l'école, il doit déjà recruter des professeurs supplémentaires. C'est un petit succès qu'il ne doit à lui même et il en est fier, très fier. Voilà dix ans qu'il est revenu, dix ans que l'école est donc ouverte. Et justement, pour l'occasion, le corps professoral ainsi que les élèves donneront une représentation au printemps. De son côté, cela arrive à Bellamy de faire la navette entre Bennington et New-York pour donner un coup de main à la compagnie de ballet lorsqu'il y a besoin. Cela lui ait déjà arrivé de remplacer à pied levé le chorégraphe, faisant même un bout de tournée avec eux, le temps que tout revienne en ordre. Bellamy revient d'ailleurs de New-York où il a passé deux mois, pressé par sa soeur pour qu'il rencontre enfin son nouveau mec. Encore un… Il faut dire qu'elle les accumulait depuis le fiasco qu'était son presque mariage. Mais Bellamy restait son grand frère, il se devait de rencontrer celui qui fréquentait sa soeur, c'était devenu une habitude entre eux, malgré la relation compliquée qu'ils avaient. Par contre, il n'avait pas prévu que le mec en question soit aussi mignon… </span></div></div> <div class="pres-5"><div class="credit"><img src="https://i.imgur.com/bbCcbox.jpeg"><div>crédits : avatar & icons by proserpine</div></div> <div class="horsjeu"><fiche3>Ton pseudo</fiche3> Proserpine <fiche3>Ton âge</fiche3> Toujours 32 ans <fiche3>Ton pays</fiche3> Celui des bretzels :lama: <fiche3>Ton personnage</fiche3> est un <fiche3>inventé</fiche3> <fiche3>Faceclaim & origines</fiche3> Romain Duris, origines françaises et suédoises <fiche3>T'es arrivé ici comment</fiche3> Fb <fiche3>Fréquence de connexion</fiche3> Tous les jours, ça dépendra de l'IRL <fiche3>Dernier petit mot</fiche3> :excité: :sirène: </div> </div>