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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:06

Fergus

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Casquette vissée sur la tête, Fergus passe presque inaperçu lorsqu'il sort de l'immeuble qu'il occupe. Il aurait presque pu rajouter des lunettes de soleil, mais il s'était dit que cela ferait peut-être trop, alors il s'est contenté de la casquette. Un coup d'oeil rapide vers la fenêtre derrière laquelle se trouvait son partenaire et il se met en marche d'un pas rapide, inutile de prendre son temps, il n'avait de toute façon aucune raison d'être dehors. Si le divisionnaire apprenait qu'il sortait, même pour dix minutes, il allait en entendre parler, mais aucune raison qu'il le sache non ? A moins que son coéquipier le balance, mais il n'avait aucun intérêt à le faire. Ils avaient beau s'entendre comme chien et chat, ils n'étaient pas du genre à se balancer l'un l'autre, aussi surprenant que cela puisse paraître. Fergus était ce qu'il était, il n'en restait pas moins loyal, notamment à son partenaire. Oui, oui. Le flic entre dans la petite supérette au coin de la rue, mais reste discret, il n'était pas question de se faire repérer dans un moment de relâchement. Pourtant, il le pourrait. Cette planque était une punition et rien d'autre. Il pourrait tout faire capoter juste par esprit de vengeance, juste parce qu'on lui a mis Reyes dans les pattes entre Noël et le premier de l'an. Mais il n'en ferait rien parce qu'une planque c'était toujours mieux que des fêtes de fin d'année coincé entre ses sœurs, sa mère et sa fiancée. Ces dernières avaient crié au scandale lorsqu'il leur avait appris qu'il ne passerait sûrement pas la fin du réveillon avec elles, menaçant même d'appeler le divisionnaire, mais il les avait empêché, in extremis, mettant cela sur le compte de son extrême "professionnalisme". Mais personne n'avait été dupe.

Fergus fait rapidement le tour de la supérette, trouvant tout ce qu'il voulait et prenant même un peu plus que prévu, n'étant pas sûr de la fin de cette blague qu'était la planque. Il n'échange aucun mot avec le caissier, rangeant les produits rapidement dans un sac prévu à cet effet, avant de payer et de quitter les lieux. Le flic ne flâne pas sur le chemin du retour et en profite même pour envoyer un message à son coéquipier rester dans l'appartement, le prévenant de son retour. La porte de l'immeuble franchie, il se débarrasse de la casquette et passe une main dans ses cheveux avant de grimper les escaliers quatre à quatre jusqu'au troisième étage. Là, il tape quatre coups sur la porte pour annoncer sa présence avant d'ouvrir à l'aide ses clés. Fergus dépose le sac sur la petite table de la cuisine et récupère le pack de bières qu'il avait acheté, raison principale de sa sortie en fin de compte. Il retrouve Alejandro dans le salon, au même endroit où il l'avait laissé, près du téléobjectif visant la fenêtre de l'un des appartements de l'immeuble d'en face, à deux détails près. Primo, Monsieur semble tout droit sorti de la douche, les cheveux encore trempés et la serviette humide autour de la taille. Fergus marmonne entre ses dents, le fustigeant d'un regard noir ne sachant pas tellement pourquoi il était énervé exactement. Est-ce que c'était à cause du fait que personne n'a surveillé l'appartement pendant son absence et donc la douche ? Ou alors est-ce que c'était à cause des gouttes d'eau qui roulaient, une à une, le long de son cou ? Joker. Secundo, Reyes était au téléphone, avec qui, il l'ignorait et il n'avait pas envie de le savoir, il n'aimait juste pas ne pas avoir son attention. Etait-ce si grave ? Il décapsule les deux bières, en tend une à son coéquipier, de mauvaise grâce, avant de s'avachir sur le canapé. Il attend patiemment (non) que son coéquipier raccroche et pousse un soupir qui en dit long. [b]« C'est bon, t'as fini ? »[/b] Il croise les bras, la mauvaise humeur le prend d'un coup. </div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:06

Alejandro

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Deux jours qu'ils sont là déjà, dans ce petit appart' où ils sont supposés faire la planque jusqu'à obtenir des preuves qu'un suspect dans une de leurs affaires est bien là mais pas un mouvement dans l'immeuble d'en face et ça commence doucement à lui courir sur les nerfs. Parce que la patience, quand il n'a rien d'autre à faire, c'est clairement pas son fort. Alors oui, il profite du fait que son coéquipier sorte pour aller faire de rapides courses pour aller prendre une douche. Il a l'impression de ne pas avoir pu le faire depuis des semaines, à force d'être enfermé ici sans pouvoir sortir prendre l'air ou avoir quelque chose à faire d'autre de ses journées que de rester à observer... le vide. En plus, il se retrouve là parce que comme toujours, quand Fergus fait une connerie, ils la payent à deux, puisqu'ils vont toujours de paire. Bon, à la base, lui les fêtes il devait les passer seul. Pas réjouissant comme perspective, mais il voulait échapper au repas de famille avec sa mère, parce qu'il savait très bien qu'elle allait tenter à nouveau de le caser avec la fille d'une de ses amies. Comme s'il avait besoin de sa mère pour jouer les entremetteuses... Non, lui il avait besoin d'un putain de miracle en fait. Parce que ça fait bientôt 48h qu'il doit se retenir chaque seconde de péter une pile et de ne pas craquer, pour simplement attraper l'autre par le col pour l'embrasser. Une vraie torture cette planque.

La douche est donc plus que bienvenue pour lui, il peut se vider la tête quelques délicieuses minutes où il laisse l'eau chaude le débarrasser de la tension qu'il a accumulé jusque là. Mais la pause est de courte durée parce qu'il entend son portable sonné et il reconnait le numéro. C'est un de ses indics, il doit prendre l'appel. Il coupe l'eau et noue rapidement une serviette autour de sa taille avant de décrocher et de laisser l'autre au bout du fil lui dire pourquoi il l'appelait. Il avait fait une avancée dans ses recherches, ce qui forcément était une bonne chose pour leur enquête. Il avait trouvé le numéro du comptable qui s'occupait de gérer les affaires de leur suspect. Évidemment, vu là où il est, il n'a rien pour prendre des notes alors il quitte la salle de bain et va au salon, portable toujours collé à l'oreille et il attrape un stylo et un bout de papier pour le noter. Il se redresse à peine de la table, quand il sent son portable vibrer, un message reçu et il jette un rapide coup d’œil à la notification. Fergus revient. Merde, il n'a pas le temps d'aller se changer puisqu'il cause toujours avec son indic' qui lui dit qu'il faudrait creuser sur ce type aussi parce qu'il soupçonne qu'il ne gère pas que les comptes de leur suspect. Une piste pour atterrir sur une affaire encore plus grosse que prévue, c'est le divisionnaire qui allait être content.

Mais y en a un qui ne l'est pas du tout, de ce qu'il peut voir quand il le regarde, vu qu'il a la mine renfrognée dès qu'il pose les yeux sur lui, marmonnant dans sa moustache quelque chose qu'il ne peut entendre parce qu'il a encore la voix de son indic' dans les oreilles. Qu'est-ce qui lui prenait d'un coup à lui ? Puis pourquoi il semblait si énervé de le voir au téléphone. Il ne se passait de toute façon rien en face et il n'était pas con, il avait connecté l'appareil photo à la lunette pour enregistrer si jamais ça bougeait dans l'appart. Il saisit la bière qu'il lui tend, la gardant en main le temps de boucler son coup de fil, encore trempé de sa douche oui, il sent bien les gouttes qui coulent sur sa peau. En même temps c'est pas de sa faute si le timing de l'appel était pourri hein. Après quelques secondes de plus, il fini par remercier son interlocutrice au bout du fil -en espagnol- et il retourne son attention sur l'autre, qui oui, difficile de ne pas le voir, lui fait la gueule, vu comment il est avachi là dans le canapé, les bras croisés. « [b]Qu'est-ce que t'as à la fin ? Tu comptes vraiment me faire une scène parce que j'étais au téléphone ? Bois un coup, ça te détendra.[/b] » suggère-t-il même si clairement, on sent dans sa voix que ça n'en est pas une, de suggestion mais plus une pique dissimulée alors qu'il repose son portable sur la table du salon, se penchant légèrement pour l'y déposer, menaçant de faire tomber sa serviette mais sa main rattrape le tissu juste à temps.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:06

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Ouais il faisait la gueule et Fergus ne savait pas tellement pourquoi cela arrivait maintenant, mais ça arrivait. A vrai dire, c’était assez fréquent et cela concernait toujours son coéquipier de malheur. Pourtant, il ne pouvait pas expliquer ce qui se passait dans sa petite tête ou pourquoi son cœur se pinçait comme ça. En tout cas, le dénominateur commun était Alejandro, à chaque putain de fois. Une coïncidence sûrement, mais il n’arrivait pas à l’expliquer. Il n’arrivait, de toute façon, pas à expliquer grand chose lorsque son coéquipier était dans les parages, il suffisait qu’il soit là, devant lui, pour qu’il brouille tout dans son cerveau. Comme maintenant. Et bien entendu, le voir à moitié nu, n’aidant en rien. Est-ce qu’il voulait lui prouvait lui prouver qu’il était encore très bien foutu ? Parce que si c’était ce qu’il voulait entendre, alors Fergus était prêt à le lui dire, tant qu’il s’habille et cache ce corps parfait, tout irait bien. Oui le blond, avait envie de faire la gueule, parfois pour un rien, c’était juste le seul réflexe défensif qu’il avait trouvé pour ne rien laisser paraître. La seule idée de laisser transparaître quelque chose le terrifiait, pourtant, c’était là, enfoui bien profondément.

Il souffle du nez, secouant la tête, piqué par ses mots avant de boire une gorgée de sa bière. [b]« Une scène ? Tu me vois vraiment comme la psychopathe de petite-amie jalouse ? »[/b] Oui, ça l’avait piqué, mais sans le savoir, il avait tapé en plein dans le mille. Parce que jaloux, il l’était, oh ça oui. Il se lève du canapé, tout simplement parce qu’il n’avait plus envie d’y être, il était même prêt à aller se dégourdir les jambes, de nouveau. Le soucis, c’était cette horrible planque qui les empêchait de sortir. Le mouvement de sa main ne lui échappe, ni la chute avortée de la serviette et aussitôt, sa mâchoire se crispe. [b]« Pour l’amour de ciel Alej, va t’habiller ! »[/b] Et s’ils devaient intervenir de l’autre côté de la rue dans la seconde, ils feraient comment avec un simple serviette sur le cul hein ? Oui, Fergus était professionnel pour le coup, ce n’était pas du tout la frustration qui parlait, non du tout. Son coéquipier avait apparemment décidé de mettre ses nerfs en pelote, il avait suffit d’une petite sortie à l’épicerie, pour qu’il devienne insupportable. Comme s’il ne l’était pas suffisamment au final, même s’il avait appris à s’y faire avec les années. Cinq années que ces deux là bossaient ensemble et se voyaient tous les jours, forcément ça crée des liens. Mais cette tension palpable dès le début était toujours là et c’était parfois insupportable. Comme à cet instant. Alors, comme à chaque fois, il inspire profondément et se recentre -parfois, ça marche, parfois non. [b]« Bref… du nouveau ?  »[/b] Il n’était pas parti très longtemps, mais on ne sait jamais, les choses auraient pu avancer et la planque pouvait prendre fin maintenant et mettre fin à ce supplice, non ? Pitié.. </div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:07

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">S'il décidait d'être de mauvaise humeur tout seul, il serait tout aussi délicat de gérer le tout de son côté et de le laisser tranquille, merci. Non, parce que pour une fois, il n'a vraiment rien à voir dans l'histoire. Ok, on va pas se mentir, il peut être un véritable chieur quand il le veut et vu le répondant qu'à en général Fergus en face, ça ne fait que rajouter de l'huile sur le feu mais là non vraiment, il n'a rien fait. Si, juste prendre une douche. Et de se retrouver coincé au téléphone en plein milieu. Quand même pas sa faute si le coup de fil était tombé au plus mauvais moment ? Puis parlons-en de professionnalisme tiens. Il l'était en prenant en note le numéro qu'on lui refilait pour qu'ils puissent avancer dans leur enquête, celle-là même qui les clouait ici pour le moment. Alors clairement oui, il l'a un peu mauvaise qu'il lui tape une telle scène à peine de retour de son passage éclair à l'épicerie du coin.

Ah ça... Cette chère tension entre eux, en effet présente depuis le tout premier jour de leur rencontre et qui n'avait cessé de s'intensifier avec le temps. Sauf qu'au lieu d'y voir l'évidence, à savoir qu'ils avaient des sentiments l'un pour l'autre, eux y avaient simplement vu... qu'est-ce qu'ils voyaient en fait ? Une complicité naturelle entre deux collègues qui bossent ensemble depuis déjà cinq ans maintenant ? Bah oui, on ne passe pas son temps avec une personne -plus qu'avec n'importe qui d'autre pour le coup, conjoint(e) y compris-sans finir par avoir un lien très particulier au bout. Surtout que ces deux là se complètent autant qu'ils peuvent s'opposer mais c'est aussi ça qui faisait le charme et le piment de leur duo, pas vrai ? Mais c'était bien ça le problème, cette compatibilité évidente qui était devenue autre chose au fil du temps mais qui était reniée si violemment par ces deux imbéciles que ça ne pouvait que donner ce genre de situations potentiellement explosives.

« [b]Bah la seule différence concrète entre les deux c'est que je vois pas de quoi tu peux être jaloux. [/b]» qu'il lui rétorque alors qu'il le regarde se relever du canapé d'un bon. Mais sérieux, qu'est-ce qu'il lui prenait ? Il dépose alors son téléphone sur la table basse, s’apprêtant à aller dans la chambre pour se changer quand il lui balance cette remarque qui sort de nulle part. «[b] Faut vraiment que tu rentres chez toi et que tu tires un coup, tu deviens exécrable là.[/b] » Ouais, le tacle est bas, il le sait, mais là il le cherchait, bah il venait de le trouver. Pas parce que monsieur avait ses règles qu'il devait se passer les nerfs sur lui oh. « [b]R.A.S., donc descends d'un cran, on a rien manqué de capital.[/b] » qu'il répond, buvant un peu de sa bière avant de la poser sur la table basse à côté de son portable. « [b]Je peux aller me rhabiller maintenant ou tu comptes encore continuer à mes les briser parce que tu commences à regretter d'avoir encore ouvert ta grande gueule devant le divisionnaire ? [/b]» Bah ouais, parce que c'est à cause de ça qu'ils se retrouvent coincer ici. Par sa faute. Donc il trouve ça un peu injuste d'être celui qui se retrouve à se faire incendier alors que par le responsable de toute cette situation à la con.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:07

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Deux idiots, c’était exactement ce qu’ils étaient. Ils se comportaient comme tels depuis des années. Lorsque l’un d’eux emmerdait l’autre, l’autre surenchérissait derrière. Parfois, cela montant crescendo et l’un des deux battait en retraite, souvent à coup de claquement de porte et de cris. C’était leur façon de communiquer et il faut dire que malgré cela, cela fonctionnait bien entre eux. Mais il y avait cette foutue tension qu’aucun d’eux n’était prêt de vouloir relâcher. Peut-être avaient-ils peur que tout change, en tout cas, du côté de Fergus, c’était le cas. Il se contentait de ce qu’il avait en ce moment, tout simplement parce qu’il était inconcevable que les choses prennent une autre tournure. Le déni, c’était quelque chose, ils étaient passés maîtres en la matière en bossant ensemble. Ils auraient pu être de simples collègues, de simples amis, mais ils savaient tous les deux que ce n’était pas le cas et que rien n’était simple.

Alors oui, il faisait la gueule parce que tout ça, toute cette tension le fatiguait et il ne savait plus comment la gérer au quotidien. C’est ce qui l’avait poussé d’ailleurs à demander sa petite-amie en mariage, sur un coup de tête, pour se prouver qu’il était capable de passer et penser à autre chose, le fameux déni encore, oui encore lui. Et le déni lui faisait dire des choses complètement connes, comme cette histoire de jalousie. Il préférait mettre cela sur le dos d’une pseudo petite-amie inexistante, oui parce que la jalousie, c’était une histoire de femme, c’était bien connu. [b]« Laisse tomber… »[/b] Stratégie totalement nulle pour changer de sujet, mais il fait avec ce qu’il a, c’est-à-dire : aucun argument valable. Parfois, il fallait vraiment qu’il réfléchisse avant de parler ou avant de faire quoique ce soit car cela allait lui jouer des tours, du moins des choses qu’il allait finir par vraiment regretter. Impulsif, il l’était, ce n’était une surprise pour personne et il ne s’en cachait pas. Il s’en était toujours bien sorti, jusqu’au jour où il ferait ou dirait la connerie de trop. Oh le tacle qu’il n’attendait -presque- pas l’atteint en pleine face, ses traits se durcissent, la colère monte d’un cran et bientôt il pointe un index d’un geste rageur vers lui. [b]« Va te faire foutre, Reyes ! »[/b] Il avait appuyé là où ça faisait mal, il savait très bien ce qu’il faisait et c’est justement ça qui était rageur : il le connaissait trop bien. L’état de son couple était déplorable, à tel point qu’il était ravi de partir en planque, c’est dire. Changer de sujet, oui, c’est ce qu’il fallait faire dans ce cas avant qu’il ne lui saute dessus pour lui en mettre une. Là encore, Alejandro ne joue pas le jeu alors Fergus s’offusque et secoue la tête, agacé. Descendre d’un cran ? Il était parfaitement calme, non ? Pour le lui prouver, il se retient de lui répliquer une pique bien sentie, jusqu’à ce qu’il l’ouvre de nouveau. Sans perdre une seconde, le blond bondit de nouveau, vers lui cette fois. [b]« Je regrette rien d’accord ? Pourquoi tu crois que j’ai ouvert ma gueule, hm ? »[/b] Est-ce qu’il voulait le pousser à bout ? Ou alors il lui en voulait d’être ici avec lui ? [b]« Je préfère être ici plutôt que chez moi et puis rien ne te force à rester, si t’as mieux à faire, rentre chez toi. »[/b] Oui, il avait peut-être poussé le divisionnaire à bout pour qu’il l’envoie dans cette planque, pas de sa faute si cela avait aussi condamné son coéquipier devenu compagnon d’infortune, il ne lui en voudrait même pas s’il partait.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:07

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Combien de fois s'étaient-ils déjà fait engueuler par leur patron parce qu'ils avaient du les reprendre après une énième dispute au départ ? Le chiffre total reste encore à ce jour incalculable. Bon, ils s'étaient calmés par la suite, sans jamais s'assagir totalement pour autant non plus parce que c'est comme ça qu'ils communiquaient en vérité. Il y avait toujours soit un regard de biais vers l'autre, une réflexion balancée l'air de rien et des piques qui fusaient parfois pour rien mais c'était devenu leur marque de fabrique à force. Leurs collègues en avaient rapidement eut assez de leur fichue complicité totalement agaçante. Ce qui le rendait fier d'ailleurs. Même si bien sûr il n'irait jamais le dire à qui que ce soit et certainement pas à Fergus. Enfin, comme si c'était la seule chose qu'il ne lui disait pas...

Alors oui, parce que monsieur à décidé d'être un Grinch ce soir -comparaison tout à fait justifiée et valide vu la période de l'année- et de s'en prendre à lui parce que ça lui fait plaisir, il n'allait pas se laisser marcher sur les pieds sans répondre. C'était bien mal connaître Alejandro et justement, s'il y a bien quelqu'un en ce bas monde qui devait le connaître mieux que quiconque, y compris sa mère, c'était son coéquipier. Et la réciproque est tout aussi vraie, on s'en doute. Il sait donc très précisément où appuyer pour lui faire comprendre qu'il pouvait aller se faire foutre, lui et ses sautes d'humeur à la con. Le sentiment est à nouveau partagé d'ailleurs quand il en remet une couche et que cette fois-ci au lien d'opter pour sa solution de repli préféré en cas de conflit entre eux ces derniers temps, il lui retourne le compliment. Pas sa faute à lui s'il était mal ou pas baisé et d'une humeur déplorable à cause de ça. C'est lui qui avait choisi de lui passer la bague au doigt qu'il sache, personne lui avait mis un couteau sous la gorge pour le faire. Qu'il s'en prenne à lui même si ça n'allait pas avec elle et qu'il arrête de le faire payer lui. Parce que lui se proposerait bien lui offrir la solution à son problème de tension...

Mais comme toujours, une fois qu'ils sont lancés, ça part dans la surenchère et même s'il est parfaitement calme en demandant s'il peut aller se fringuer, le ton de sa voix est toujours et encore teinté de sarcasme à peine dissimulé. Et comme y fallait s'y attendre, ça repart pour un tour et il se retrouve face à lui en un instant alors que le blond bondit à nouveau dans un nouveau regain de colère. « [b]Parce que tu peux pas t'en empêcher ?[/b] » qu'il répond en haussant les sourcils de façon entendue parce que c'est le cas. C'est plus fort que lui, lui et sa putain d'impulsivité de merde. Il pourrait lui en coller une là, tout de suite, ça lui ferait du bien. Surtout quand il se met à sortir des conneries pareilles. « [b]Pourquoi tu crois que je suis là [i]pendejo[/i] ? Je pourrais avoir mieux à faire, oh ça oui ! J'ai pas à trop me forcer pour ça et tu me l'as déjà assez reproché d'ailleurs. Mais je suis là malgré tout. Alors pose-toi deux secondes la question de savoir pourquoi je continue de me coltiner Grincheux alors que je pourrais me taper n'importe qui d'autre à la place.[/b] » Ses yeux se plissent imperceptiblement mais vu la distance à laquelle se trouve Fergus face à lui, il ne pourra pas le manquer. A voir s'il allait en arriver à la bonne conclusion ou pas maintenant qu'il avait pour ainsi dire enfin déballer à demi mots ce qu'ils niaient depuis si longtemps l'un comme l'autre avec la même application.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:08

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Qu'Alejandro le connaisse par cœur était à la fois un problème et à la fois un force. Une force dans le sens où cela pouvait leur servir pour le travail bien entendu, pourquoi d'autre ? Mais c'était évidemment un problème, notamment dans la situation actuelle parce que tous les deux savaient où appuyer pour faire mal. Et ce n'était pas fait de gaieté de cœur lorsque cela arrivait, bien au contraire, mais pour Fergus, l'attaque était un moyen de défense. C'était ça ou le repli. Leurs collègues s'en donnaient à cœur joie et avaient même lancé des paris stupides à leur insu -mais ils n'étaient pas stupides, ils savaient- et n'attendaient qu'une chose : que ça pète ou que ça évolue. Ou les deux. Toujours est-il qu'ils n'avaient pas de public à cet instant à part les murs de l'appartement où ils étaient enfermés pour cette planque interminable. Une planque, évidemment, était le moment où l'on devait être ultra vigilant, à l'affût du moindre mouvement, mais ils en étaient très loin à cet instant, mais c'était le cadet de leur souci. Il y a du mouvement dans l'appartement d'en face, mais aucun des deux ne semble le remarquer, trop occupés à se jauger du regard, l'un en face de l'autre. C'était sûrement une de leur occupation favorite lorsqu'ils se disputaient. Ils se tenaient là, à se regarder, plissant parfois les yeux pour faire craquer l'autre, une sorte de bataille de regard en somme. Bon, là, Alejandro partait gagnait parce qu'il avait un avantage de taille : sa tenue. Ou plutôt, l'absence de tenue. Et malgré sa volonté de rester insensible à ce qu'il avait sous les yeux, bah Fergus ne pouvait pas l'ignorer. Que ce soient ses cheveux encore humides qui les rendaient encore plus foncés qui ne l'étaient déjà, contrastant avec sa peau dénudée encore moite de sa douche, il pouvait le voir de là où il était. Ou encore cette serviette qui restait accrochée à sa taille par on ne sait quel miracle... Oui Fergus n'avait rien loupé de tout cela et c'était justement ça le souci.

L'air ambiant était devenu étouffant et électrique et il fallait très vite qu'il se sorte de cette situation plus que délicate avant qu'il ne fasse une connerie. Alors, oui, il n'avait pas pu s'empêcher de l'ouvrir devant leur divisionnaire, tout simplement parce qu'il avait envie de se retrouver ici et pas chez lui. Égoïste ? Oui peut-être un peu. Et effectivement, Alej avait vu clair dans son jeu, il n'avait pas pu s'en empêcher, pas la peine de nier à vrai dire et il se contente de hausser les épaules. Son impulsivité pouvait être un problème, mais seulement pour les autres. Il agissait comme bon lui semblait, bon d'accord, peut-être un peu vite et souvent sans réfléchir, mais il suivait son instinct et personne ne le changerait. Ce que lui dit son équipier lui fait froncer les sourcils un long moment, essayant de comprendre ce qu'il était en train de lui dire. Il décortique chaque mot, penchant la tête sur le côté, pas sûr de bien comprendre ce qu'il était en train de lui dire ou même de comprendre tout court. Est-ce qu'il était en train de se foutre de sa tronche ? Sans vraiment s'en rendre compte, il fait un pas vers lui, ses yeux se permettent un aller-retour sur sa peau avant qu'il ne se reprenne très vite, se rendant compte de la proximité et de ce qu'il était en train de faire. S'il se concentrait bien, il pouvait même sentir la chaleur qui émanait de son corps. « [b]Comment ça... te taper ?[/b] » Oui comment ça ? Se taper...ou se taper... ? Fergus espérait avoir mal compris, mais espérait surtout avoir compris ce qu'il a entendu. « [b]Je suis pas sûr de comprendre... tu peux être plus clair ?[/b] » Alors, oui, dis comme ça, on pourrait croire qu'il le fait exprès, qu'il a juste envie de le voir sortir de ses gonds, mais pas du tout, c'est une réelle interrogation. Et peut-être qu'il le cherche aussi oui, un petit peu.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:08

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Cinq années passées au quotidien l'un avec l'autre, forcément qu'à présent ils se connaissent par cœur. Et en effet, c'est à la fois ce qui fait leur force sur le terrain et pour le boulot, mais leur faiblesse pour le reste. Surtout quand le reste concerne le fait que tous les deux sont en plein déni des sentiments qu'ils ont l'un envers l'autre depuis un bon bout de temps déjà. Alors oui, on en arrive vite à des situations semblables en ce moment, où ça part vite au quart de tour quand l'un provoque l'autre et inversement. Et c'est là qu'on voit qu'ils sont proches parce que oui, quand ça frappe, ça le fait direct là où ça fait mal. Alejandro est un latin après tout, ne l'oublions pas, s'il est capable d'afficher un air imperturbable la plupart du temps, quand l'attaque vient directement de son coéquipier, quand en plus il sait qu'il le cherche volontairement, là non, pas de quartier. Pas sa faute à lui s'il a été assez stupide pour demander sa copine en mariage alors qu'il n'a aucune envie de l'épouser. Ni sa faute d'ailleurs s'il était revenu dans l'appart après sa sortie sans qu'il ai eu le temps d'aller se changer quand il était encore en pleine conversation téléphonique avec son indic. La mauvaise foi n'étouffait pas Fergus pour le coup, mais dommage pour lui, ça ne passait pas face à son partenaire ce soir. Faut dire que s'ils étaient coincés là, c'était entièrement de sa faute à lui et rien qu'à lui.

Détail qu'il ne se prive pas de lui rappeler d'ailleurs quand à nouveau il s'en prend à lui en lui disant à présent que s'il voulait, il pouvait se barrer. Mais une girouette ce crétin... Un coup il lui fait une scène de jalousie -n'ayons pas peur d'appeler un chat un chat- et après c'est limite s'il ne l'envoyait pas se faire foutre. Faudrait savoir à la fin. Sauf que bien entendu, vu que le blondinet ne sait pas ce qu'il veut, forcément ça ne peut pas aller dans le bon sens. Et puisqu'il joue avec ses nerfs depuis le début de la soirée, il fini par lui dire le fond de sa pensée. Pas tout non quand même, il ne peut pas lui dire la vérité, mais ce qu'il a laisser sortir devrait lui mettre la puce à l'oreille. Mais maintenant il joue à l'idiot qui n'a rien compris ou fait mine de ne rien avoir compris en tout cas, ce qui équivaut à une nouvelle provoc' pour Alej' qui le toise du regard, façon peloton d’exécution pour le coup. « [b]Parce que t'as encore besoin d'un dessin en plus ? Je sais que t'es blond mais je pensais que les deux neurones que t'as encore de connectés étaient encore fonctionnels..[/b] » Et oui, Fergus n'était pas le seul capable de mordre plus fort en retour une fois provoqué. Lassé, le moustachu se décale sur le côté et retourne vers la table basse pour y récupérer son portable, prenant la direction de la chambre, histoire d'aller se changer et surtout de laisser l'occasion à l'autre idiot de se calmer parce que si là il en remettait une couche, il allait le cogner. Coéquipier ou pas. Il l'aurait cherché, littéralement.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:08

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Fergus était perdu et agissait d'une façon qu'il n'aimait pas du tout. Il fallait toujours qu'il se comporte de cette manière avec son coéquipier, tout simplement parce que parfois, il suffisait qu'il le regarde pour que tous ses neurones encore valides, ne grillent. Le blond avait toujours mis cela sur le compte de l'agacement. C'était leur manière de fonctionner après tout, même après cinq ans de relation. Enfin, "relation", on se comprend, n'allez pas imaginez des choses. Quoique si on y regarde de plus prêt et qu'on demande à leurs collègues, Reyes et Hendricks, c'est le vieux couple du 12th. Toujours à se chercher, à se chamailler et s'engueuler pour un rien, mais gare à vous si ces deux là se liguent contre vous. Chien et chat la plupart du temps, mais un duo d'enfer lorsqu'ils le veulent. C'est justement à cause de cela que leur binôme était imprévisible, mais aussi redoutablement efficace. Parce que oui, ils saoulaient tout le monde avec leurs chamailleries, mais ces deux-là avaient de bons résultats au sein du commissariat. Une alchimie non négligeable qui portait toujours ses fruits. Bon sauf ici, pour cette planque. Aucun des deux n'était apparemment d'humeur -pour ne pas dire Fergus, de base, mais vous savez la fierté tout ça... ça rend un peu con- et la tension était maintenant à couper au couteau. Bah très étonnant vu leur dynamique, mais vu la situation, c'est-à-dire cette planque, elle n'était pas forcément la bienvenue.

Donc oui, le blond est perdu et ne comprend pas tellement ce qui lui prend au brun à lui dire des choses pareilles. Certes, cette crise de soi-disant jalousie sortait de nulle part, mais ce n'était pas la peine de lui parler comme il venait de le faire. Et puis, il ne comprenait pas vraiment où il voulait en venir. Alejandro pouvait être parfois tellement subtile que Fergus captait rien, il avait besoin qu'il soit un peu plus explicite. En grande partie pour se rassurer à vrai dire. Car il avait l'impression de comprendre des choses, mais est-ce que seulement, c'étaient les bonnes ? Il a donc la bonne idée de lui demander de préciser et la réaction ne se fait pas attendre. Son regard noir le fait frémir et pas forcément de la bonne façon... Et le voilà qui en prenait encore plein la gueule. Cette fois, Fergus soupire, l'envie d'en savoir plus s'étiole d'un coup. [b]« Je t'emmerde, Reyes... »[/b] Voilà, ça devait toujours se terminer de cette manière, le blondinet était vexé et ne trouvait rien d'autre à dire que ça tout simplement parce qu'il avait espéré.. Espéré quoi ? Mystère. Toujours est-il qu'il sent la frustration grimper en flèche en le voyant lui tourner le dos. Wow, quelle discussion constructive ! Était-ce étonnant venant d'eux ? Pas tellement. La déception et la frustration laissent place à la colère, Fergus suit alors Alej dans la chambre se moquant bien de sa volonté de rester seul pour se changer, c'était le cadet de ses soucis à cet instant. [b]« Alors c'est comme ça que tu fais, hm ? C'est comme ça que tu fonctionnes réellement, Reyes ? Je t'ai connu plus bavard et surtout beaucoup moins lâche. »[/b] Là, c'était la colère qui parlait, l'incompréhension aussi et dieu sait que Fergus pouvait dire des choses totalement connes lorsqu'il était en colère. [b]« J'ai l'impression de parler à un mur.. faudra pas s'étonner si les gens finissent par te tourner le dos, c'est tout ce que tu mérites. »[/b] Vous savez, cette sensation.. celle que vous avez quand des mots que vous ne pensez même pas s'échappent de vos lèvres ? Bah on est en plein dedans.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:08

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">C'est vrai que depuis leurs débuts en tant que coéquipiers, c'est toujours plus ou moins comme ça qu'ils communiquaient. Par jeux de mots pourris, piques et autres vannes limites, si bien qu'ils en ont presque développé un sens de l'humour commun. Mais là, ça n'était plus vraiment gentillet ce qui était dit là et y avait qu'à voir combien dans son langage corporel Alejandro était dans la retenue parce que sa mâchoire était à deux doigts de commencer à faire du bruit tellement il la serrait depuis de début de cette conversation là. Car s'il est vrai que se les mettre à dos, c'était assurément une très mauvaise idée, vu les deux spécimens que c'est -bien capables de vous le faire regretter très amèrement-, le reste du temps, ils agissaient clairement en "vieux couple". A se chercher sans arrêt mais en étant très protecteur l'un envers l'autre malgré tout. Inséparables et complices même si en apparence, ils se sortaient par les trous de nez. Mais on est loin de tout ça pour le moment, très loin même et ça se voit, vu comment ils sont là quasi au point de se foutre sur la tronche. L'envie ne manque pas à Alej' qui pour couper court et avant de véritablement passer à l'acte s'il continuait de le chercher ainsi, décide d'aller dans la chambre pour enfin pouvoir se changer en paix, laissant en théorie, Fergus redescendre de ses grand chevaux. Mais évidemment, ce dernier n'en a pas fini avec lui. Non sans au passage lui adresser un magnifique majeur dressé pour sa réponse de gamin, à laquelle il s'attendait en effet, parce que c'est souvent ainsi qu'il répondait quand il savait qu'il ne pouvait pas répliquer avec quelque chose de plus cassant.

Il a à peine attrapé son boxer qu'il entend la porte s'ouvrir derrière lui et il sent son agacement atteindre des sommets. Il n'avait vraiment pas compris que pour son propre bien, il fallait qu'il le lâche. Et le bougre attaque bien en plus en lui reprochant d'être lâche. Ah là c'était du beau foutage de gueule de la part de Fergus, l'hôpital qui se foutait mais bien de la charité parce que le lâche dans l'histoire c'est clairement lui. Et là déjà, Alejandro a le poing serré, considérant réellement l'option de lui coller en pleine tronche pour qu'il la ferme et comprenne, là très clairement, qu'il devait la fermer pour la soirée mais il remet une couche et là il craque. Il pouvait encaisser un tas de choses mais là non, fini, il avait épuisé sa patience. Il émane de lui un calme soudain qui n'est vraiment pas bon signe. Le calme avant la tempête, ça vous parle ? Il repose son sous-vêtement sur le lit et se retourne pour faire face au blond qui le fusille du regard. « [b]Tu veux parler de lâcheté avec moi ? Regarde-toi dans un miroir pauvre imbécile. Monsieur j'ai demandé ma copine en mariage parce que j'ai peur de me retrouver seul un jour et qui n'assume même pas derrière et préfère s'en prendre à la seule personne qui est là pour lui, sans conditions. [/b]» Et oui, plus question de se retenir maintenant qu'il l'avait poussé à bout. Il voulait qu'il parle, il allait être servi. «  [b]C'est pour toi que je suis là, [i]pendejo[/i], pour toi que je me coltine cette putain de planque alors que si je le voulais je pourrais m'envoyer en l'air avec n'importe qui. Alors pose-toi les bonnes questions avant de me refaire une scène pareille pour un problème que tu as toi-même créé parce que tu es trop lâche pour assumer ce dont tu as réellement envie.[/b] » Le tout dit avec une voix grave mais bien trop calme pour un tel moment et les mots dits par le latin. « [b]Et maintenant tire-toi, avant que je ne finisse par t'en coller une, vu que c'est tout ce que toi tu mérites ce soir.[/b] » Oui, utiliser ses propres mots contre lui pour marquer son point, c'est voulu, croyez-le bien et s'il n'a pas complétement perdu la tête, Fergus allait suivre son conseil.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:08

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Il n'y avait plus rien de gentillet dans leur échange, Fergus en était conscient et était même fautif pour le coup. Il était du genre à s'auto-saboter comme il l'avait là. C'était si facile de saboter quelque chose lorsque l'on sentait les choses nous échapper, Fergus était devenu un as en la matière. C'était d'ailleurs pour ça qu'il avait demandé Amalia en mariage. Il avait préféré se mettre dans cette situation ,qui aurait normalement dû tout régler, plutôt que de ressentir ce qu'il ressentait pour l'autre idiot. Une bague, un mariage ça réglait tout n'est-ce pas ? Ca rendait tout le monde heureux et tout le monde y trouvait son compte, non ? Bon là, Fergus avait mal calculé son coup parce que certes, Amalia avait été heureuse pendant une semaine, mais lui, ne l'avait pas été. Maintenant, il se retrouvait coincé et sa fierté refusait d'enclencher la marche arrière. Pourtant, c'est pas l'envie qui manquait et pour les beaux yeux de son coéquipier, il était prêt à beaucoup de choses. Mais apparemment, pas à tout, pas pour le moment en tout cas. Donc oui, la seule façon pour le blond de se sortir de ce bourbier était de reporter la faute sur Alejandro. Totalement puérile comme méthode, mais c'était la seule façon qu'il avait trouvé. Au lieu de parler, de se confier, non il avait fallu qu'il fasse le con. Trop compliqué pour lui de s'exprimer sur ce qu'il ressentait vraiment au fond de lui, trouvant parfois que c'était peut-être trop ou alors que ce n'était pas normal ? N'y voyez pas d'homophobie là-dedans, il n'était clairement pas dans ce délire, mais il avait décidé d'être dans le déni jusqu'au bout vous comprenez ? Et le déni, ça fait faire et dire des choses totalement stupides. Le majeur dressé de Reyes marque la fin du premier round. Okay, il voulait bien s'avouer vaincu pour le moment, il n'avait plus de munitions.

Mais il est très vite prêt pour le second round, rattrapant le brun qui s'était isolé pour s'habiller, se foutant pas mal de lui laisser le peu d'intimité qu'il s'était trouvé, ils n'en avaient plus depuis qu'ils étaient ici de toute manière. Sabotage numéro deux pour Fergus qui préfère le traîter de lâche plutôt que de laisser tomber et la fermer. Si ces deux-là ne se connaissaient pas assez, cet acte aurait pu être qualifié de suicidaire. Mais peut-être que c'était ce qu'il recherchait après tout ? Il le cherchait, espérant le trouver pour qu'il lui en mette une, lui donnant ainsi une bonne raison de ne pas penser à lui dans un sens qu'il ne voulait plus. En terme de masochisme, il en tenait une couche Hendricks. Et Alejandro rend le coup, le blond serre les dents. Oui, ça fait mal, surtout quand il sait qu'il a raison. Il est là, il écoute la sentance, il ne pouvait rien faire d'autre de toute manière, il l'avait bien cherché. Lâche, il l'était, oui, ce n'était plus à prouver maintenant, pourtant là, ça ne passe pas. Le penser c'était quelque chose, mais se l'entendre dire en était une autre. Il savait parfaitement de quoi il avait envie, enfin il le pensait. Du moins, là, à cet instant, il avait juste envie d'attaquer sa bouche avec ses lèvres. Est-ce que c'était si grave ? Vous voyez maintenant ce qui se passait dans la tête du blond ? Et ça fait des années que ça dure.. [b]« Non.. »[/b] qu'il répond simplement lorsqu'il lui demande de se tirer. Il ne partirait pas, pas après tout ce qu'il venait de lui dire et surtout pas après ce qu'il venait de comprendre. Son coeur s'emballait, battait à la chamade parce qu'il comprenait que c'était réciproque, que le brun aussi ressentait cette chose entre eux. Cela le soulageait dans un sens, mais cela le terrifiait également. Est-ce que c'était pour eux tout ça ? Ils avaient l'avantage de se connaître depuis un moment maintenant, mais si ça gâchait tout ? Il décide de laisser son instinct le guider et de ne pas se préoccuper de ce qu'était en train de lui dire son cerveau, alors il fait quelques pas vers son coéquipier. Arrivé près de lui, franchissant la limite et de loin, il se trouve à un moins d'un mètre et l'observe avec un regard qui en disait long, qui disait bien plus de choses qu'il ne pouvait l'exprimer avec des mots. [b]« Tu es ce dont j'ai réellement envie.. »[/b] Il était bien content d'avoir bu une bière avant ça, il ne savait pas s'il aurait été capable de vraiment le dire ou alors était-ce la tension du moment qui, subitement, le faisait parler. Quelque chose se libère en lui alors qu'il prononce ces mots, pourtant, cela ne l'empêche pas d'être mortifié, dans un sens. Et pourtant, il se rapproche encore un peu plus, le coeur qui bat toujours de manière indisciplinée, son visage près du sien. [b]« S'il te plaît, Alej... dis-moi qu'on ne se trompe pas... montre-moi que ça vaut le coup... »[/b] </div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:09

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Quand Fergus avait commencé à fréquenter Amalia, bien sûr qu'il n'avait pas forcément vu ça d'un bon œil, vu ce qu'il ressentait (déjà à cette époque) pour son coéquipier, mais vu qu'il savait qu'en général, il était pas du genre à se poser et à enchaîner les conquêtes -bon, il s'y tenait plus longtemps que lui en général mais bon, aucune n'était restée plus d'un an quoi-. Alors il s'était dit qu'avec elle, ça serait pareil au bout d'un moment. Mais non, l'autre abruti avait pris le contre-pied cette fois et décidé de la demander en mariage. S'il avait réussi à plus ou moins montrer qu'il était heureux pour eux en façade, intérieurement, il fulminait. Mais il n'avait rien dit, il avait encaissé et il avait continué comme si de rien n'était. Il était cordial avec elle, toujours un petit mot pour rire quand il était invité à dîner par le couple, bref, le maître absolu de la poker face. Et il aurait continué à le faire -probablement jusqu'à ne plus pouvoir le supporter ou vivre dans le déni lui aussi- si l'autre ne lui avait pas fait une telle scène ce soir. Il savait que Fergus avait ce côté là en lui, d'impulsivité et cette capacité à foncer tête baissée en se pensant être dans son bon droit. Mais là non, il n'y était très certainement pas et il avait beau en être amoureux, il connaissait encore sa propre valeur et là, le blond avait franchi la limite. Il n'allait pas s'excuser pour quelque chose qui n'avait rien à voir avec ses propres choix et décisions. Il s'était mis dans la merde, qu'il ne compte pas sur lui pour l'en sortir et encore moins d'accepter d'être son paillasson parce que monsieur ne savait plus comment gérer sa connerie.

Il met donc fin à l'échange après que Fergus ait courageusement assumé, une fois de plus, concluant le tout avec un magnifique majeur levé dans sa direction alors qu'il espère trouver refuge dans la chambre, pour enfin pouvoir s'habiller. Croyez pas qu'il aimait se balader à moitié à poil -bon, il dort nu c'est vrai et il n'a pas de gêne quand au fait de l'être mais là c'est différent-. Seulement, bien décidé à être un emmerdeur jusqu'au bout, Fergus débarque dans la chambre et vient le provoquer à nouveau, avec une nouvelle attaque injustifiée et limite identifiable comme un foutage de gueule en bonne et due forme. Parce que lequel des deux était le réel lâche dans cette histoire ? Fergus, évidemment, mais là encore, plus facile de s'en prendre à lui que d'assumer. Alors oui, Alejandro fini par craquer et il lui balance ses quatre vérités à la tronche, calmement, ce qui n'est pas bon signe et le blond le sait, quand il est comme ça, c'est qu'en dessous, ça bout. Il attaque direct la jugulaire et emporté par la colère, laisse entrevoir le fond de sa pensée, livrant certains indices sur ce qu'il pouvait ressentir pour lui. Enfin, s'il était assez intelligent pour enfin les comprendre et arrêter de se voiler la face. Une fois son sac vidé, il lui conseille donc de se barrer, parce que s'il s'avisait de le pousser plus à bout, il allait amèrement le regretter et on voit bien à son regard qu'il serait capable de lui faire mal physiquement cette fois-ci si Fergus n'avait pas compris que c'était dans son intérêt de le faire.

Et là sa réponse tombe. Un seul mot, et sûrement pas celui qu'il aurait du dire pour tenter d'apaiser le brun. Qui le fusille littéralement du regard. Non mais il était sérieux là ? Suicidaire diraient même certains oui. Parce que là, il allait se le faire. Il s'attendait à une autre salve de reproches maintenant, dans la logique des choses mais ce que dit son coéquipier en retour est pire. Il lui fait une putain de scène de jalousie, alors que c'est lui qui est en couple et maintenant il lui dit que c'est lui qu'il veut ? Mais... Qu'est-ce qu'on trouve après le foutage de gueule dites, parce que là il n'a même pas les mots pour qualifier la chose. Et là encore, il sent que sa mâchoire se contracte violemment pour ne pas juste balancer son venin -ce qui serait justifié, vu les circonstances-. Il n'a pas bougé d'un poil, les deux fois où il s'est approché mais même si près l'un de l'autre, il y a un gouffre entre eux, vu la froideur de son regard quand il se décide à lui répondre. « [b]Tu me fais une scène de ménage et maintenant tu me supplies ? En me demandant de te montrer à toi que ça vaudrait le coup alors que tu n'es même pas sûr de ce que tu veux ? T'es vraiment un gros con, Hendricks. [/b]» Oh, il a voulu dire pire et ça n'était pas passé loin, mais même noir de colère, il ne peut s'empêcher de se retenir parce que c'était Fergus. « [b]Si ce que tu as dis était vrai, tu saurais déjà que ça en vaut le coup.[/b] » rétorque-t-il en parlant bien sûr du fait qu'il avait envie d'être avec lui, avec une lassitude nouvelle dans le ton de sa voix. Il recule et se penche à nouveau sur le lit pour attraper son boxer, décidé à ignorer sa présence maintenant, purement et simplement, lassé d'être pris pour un jouet par la personne pour laquelle il était pourtant prêt à tout donner.</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:09

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">La scène de jalousie, d'accord, elle avait été de trop. Mais cela avait été plus fort que lui, ajoutez à cela un coéquipier sortant de la douche et vous obtenez un Fergus frustré. Ce n'était clairement pas une excuse, c'était vraiment nul comme réaction, mais il était comme ça. Alejandro le connaissait depuis le temps, mais effectivement son comportement pouvait faire grincer des dents. Le blond était paumé et soufflait donc le chaud et le froid, de quoi déstabiliser la personne qui se trouve en face, il en était conscient, mais c'était la dernière chose qu'il voulait. Quand toute votre vie, vous êtes persuadé d'une chose et que, tout à coup, tout s'effondre... il y a toujours un moment de déni, de lutte aussi. Bah on est en plein dedans là avec Fergus. Toute sa vie durant il avait été persuadé que seules les femmes l'attiraient et voilà que Reyes débarquait dans sa vie. Bon d'accord, ça faisait cinq ans maintenant, mais la phase de déni pouvait être longue. Et durant tout ce temps, Fergus luttait contre ses sentiments et faisait tout pour refouler ce qu'il pouvait ressentir pour cet homme qui lui avait clairement tapé dans l'oeil. Il en avait fait des choses stupides pour essayer de se convaincre du contraire, oh ça oui. Il s'était mis en couple, il s'était même fiancé alors qu'il n'en avait même envie et le voilà maintenant coincé avec une femme qui préparait déjà une cérémonie à laquelle il n'avait même pas envie d'aller. Mais oui, tout était de sa faute, entièrement de sa faute. Mais le blond n'était pas du genre à avouer ses fautes, question d'ego. Foutu ego. C'était bien trop facile de mettre ça sur le dos de son ego et de sa fierté, mais c'était pourtant ce qu'il faisait depuis des mois, voir des années. Pourtant bien entouré, par sa mère et ses soeurs, l'ombre de son père plane toujours au-dessus de sa tête même s'il avait quitté leur vie il y a bien longtemps. Il y avait de quoi creuser en thérapie, c'était certain, mais hors de question de voir quelqu'un, Fergus préférait crever la bouche ouverte que de voir un psy.

Le contexte avait beau être compliqué, la situation actuelle l'était tout autant. Fergus faisait deux pas en avant avant de reculer de trois pas, comment voulez-vous qu'on s'en sorte ? Alors quand Alej lui somme de le laisser tranquille, il préfère répondre par la négative. Il ne le laisserait pas tranquille, il n'en avait pas envie et il voulait l'entendre lui dire ces choses qu'il voulait entendre. Alejandro parlait par périphrases le plus souvent, tournant un peu autour du pot avec sa subtilité légendaire -même s'il savait ne pas l'être pas du tout- mais Fergus avait besoin d'entendre certaines choses car lui aussi avait besoin d'être rassuré. Il avait besoin de savoir dans quoi il s'embarquait avant de prendre une quelconque décision et là... il n'y avait rien. Donc oui, il le pousse à bout. Oui, il insiste. Il supplie même, mais Alej s'en offusque presque et ça se termine en insulte. Il savait bien qu'il aurait pu dire pire, il connaissait que trop bien cette langue acérée, pourtant il n'en a rien fait. Ses derniers mots ont une résonance particulière en lui car malgré lui, le brun répond à sa question, pas directement, mais cela lui suffit pour agir. Enfin, pour le pousser à agir. Alors comme ça, ça vaudrait le coup ? Fergus voulait bien être d'accord avec lui, il n'attendait que ça, mais il voulait voir ça de ses propres yeux et il avait compris maintenant qu'il allait devoir agir et lui prouver que c'est ce qu'il voulait vraiment. La balle était dans son camp, depuis le début à vrai dire et le blond était sur le point de s'en saisir. Enfin. L'impulsif qu'il était prend le dessus, il n'avait plus le choix de toute manière. Il se penche pour s'emparer du boxer que le brun était en train de récupérer pour le jeter plus loin, sans ménagement avant de se rapprocher drastiquement. D'aussi loin qu'il se souvenait, jamais il n'avait été aussi proche de lui. Son corps pressé contre le sien, il inhale son odeur qui éveillait bien des choses en lui. Son visage se rapproche du sien et sa respiration s'accélère automatiquement alors qu'il pensait à ce qu'il était sur le point de faire. Instinctivement, sa main se pose dans le bas de son dos, au niveau où la serviette flirtait dangereusement avec la peau, sa tête se penche légèrement sur le côté alors que son nez effleure le sien et ce simple contact suffit pour que son corps soit parcouru de frissons. Ses lèvres viennent enfin au contact des siennes et Fergus aurait dû trouver ça bizarre, mais c'était tout le contraire qui se produisait dans sa tête. Après quelques secondes, il rompt le baiser, un peu à contrecœur et rouvre les yeux qu'il ne se souvenait pas d'avoir fermé pour l'observer, un peu dans l'expectative et l'appréhension aussi. [b]« Ça te suffit comme preuve ? »[/b] Il savait bien que non, mais avant d'aller plus loin, il devait s'assurer qu'il n'allait pas l'étriper...</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:09

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Par moments, il pouvait réellement le haïr oui, l'égo de son coéquipier, qui était la raison pour laquelle ils se retrouvaient là, pour rappel. C'était parce qu'il n'avait pas été capable de fermer sa grande gueule que leur chef l'avait envoyé ici pour le punir, et que par solidarité -on va dire ça comme ça même si en vérité ça tient à autre chose, on le sait maintenant-, il était venu aussi alors qu'il n'y était pas obligé. Alejandro avait encaissé déjà pas mal de choses pour le blond, la dernière en date bien sûr, ses fiançailles surprise. Mais là, sa patience commençait à vaciller. Et la goutte d'eau qui fait déborder le vase est enfin arrivée ce soir, avec cette putain de scène de ménage qu'il lui fait alors qu'il n'a absolument rien fait. Alors il avait beau nourrir des sentiments pour lui depuis un bail déjà, là, il poussait le bouchon trop loin, surtout que c'est lui qui déclenche tout ça, encore une fois. Sans assumer les conséquences de ses actes derrière. Oh oui, il aurait pu le cogner rien que pour ça. Et ça serait mérité, amplement même. Mais s'il garde quand même encore un peu de sang froid et se contient, ses mots eux témoignent bien qu'il n'avait aucun intérêt à continuer de le chercher comme il le fait depuis son retour.

Surtout qu'après un premier avertissement, il persiste à en remettre une couche. Oui, un jour, son impulsivité coûterait cher à Fergus, ça il en était conscient depuis qu'ils bossaient ensemble et d'ailleurs, ça le travaillait aussi même s'il n'en disait jamais rien. Mais là, sa fichue attitude de franc tireur, il s'en serait bien passé. Parce que ça le conduit à dire certaines choses qu'il ne pense pas forcément. Et à en laisse échapper certaines qu'il aurait mieux fait de garder pour lui. Oh oui, il pouvait être très direct quand il le voulait, le Reyes, mais vu qu'en face, ça ne sait pas ce que ça veut et que ça ne dit rien de probant non plus, il reste volontairement évasif. Parce que même s'il lui dit le vouloir lui, disons qu'il n'est pas réellement convaincu que ça soit le cas. Après tout, si c'était réellement le cas, pourquoi agir comme il le fait en ce moment même ? Alors oui, à nouveau, il met de la distance entre eux par ses mots, parce physiquement, ils ne le sont pas. Ce qui est d'ailleurs une torture pour lui, d'être si proche et si loin de lui en même temps mais là, il est à bout. Il ne sait plus ce qu'il est censé faire pour lui faire comprendre que si c'était ce qu'il voulait, c'était à lui de se décider parce que lui savait déjà. Parce que jamais auparavant, il n'avait été si convaincu qu'il ne pourrait survivre si le blond disparaissait de sa vie. Ce qui n'était jamais arrivé avec personne d'autre jusque là pour le brun. Ce qu'il lui fait comprendre à demi-mots d'ailleurs, enfin peut-être un peu trop subtilement pour le coup mais il ne réfléchit plus correctement là, bien trop de sentiments mêlés en lui en même temps.

Il préfère donc passer à autre chose avant que ça ne dégénère véritablement, en tentant d'enfin se changer mais à nouveau Fergus l'en empêche, envoyant valser son boxer à l'autre bout de la pièce et il se redresse, prêt à lui en coller une cette fois mais s'en trouve incapable parce qu'il est à présent collé par son coéquipier. Et là, le temps s'arrête. Il ne bouge plus, il ne fait que suivre l'autre du regard, dans l'expectative alors que son visage s'approche du sien et qu'il sent sa main venir se poser sur le bas de son dos. Et le reste s'enchaine alors. Son souffle chaud contre ses lèvres alors que leur nez se frôlent, puis leurs lèvres entrent en contact, enfin... Le baiser est court et il se demande même s'il n'avait pas tout simplement imaginé tout ça. Mais il est rappelé à la réalité quand Fergus reprend la parole, lui demandant si c'était suffisant comme preuve pour lui. Et à nouveau, il se passe une ou deux secondes qui semblent durer plus que ça pour lui, avant qu'il ne réagisse. Il le regarde, sans rien dire et la seconde d'après, sa main est sur sa nuque, collant son visage contre le sien, ses lèvres prenant les siennes d'assaut et son corps le faisant reculer contre le mur le plus proche. Je vous laisse donc décider si oui ou non, la preuve apportée par Fergus quelques secondes auparavant lui a été suffisante ou pas...</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:09

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Fergus était du genre à ne pas savoir ce qu'il voulait. Enfin surtout lorsqu'il s'agissait d'Alejandro, parce qu'il était généralement plutôt sûr de lui, à foncer la tête la première sans prendre le temps de réfléchir. Tous ceux qui le connaissaient, savaient à quoi s'en tenir maintenant. Alejandro le premier, notamment sur le terrain, qui était le seul à canaliser le blond, chose que personne n'avait réussi à faire tout au long de sa carrière. Lorsqu'il le sentait sur le point de partir dans les tours, il suffisait d'un regard ou d'une main sur son bras pour qu'il se calme. Oui, il avait ce pouvoir sur lui. Bon, parfois, cela n'empêchait pas le blond de monter sur ses grands chevaux, mais il revenait assez vite à la raison, aidé par son coéquipier. Eh oui, sur le terrain, ces deux-là étaient complémentaires, un duo très efficace même. Mais lorsqu'il n'était plus sur le terrain, Fergus était perdu. Etait-ce normal de vouloir passer plus de temps avec son équipier qu'avec sa fiancée ? Lorsque vous passez plus de dix heures avec la même personne, cela ne semble pas bizarre au premier abord, mais lorsqu'il devait prendre des jours de congés, là, par contre il sent que quelque chose ne va pas. Incapable de rester chez lui lors de ses jours de repos, il s'arrange toujours pour contacter son équipier, parfois s'en le faire consciemment. C'est donc dans ces moments-là qu'en effet, Fergus se rend compte qu'il y a un soucis. Pas ce genre de petit soucis que vous pouvez régler après une introspection de quelques jours. Non. Puisque cela dure depuis des années. Et comme notre cher Hendricks adore s'enterrer dans son déni, il fait en sorte d'ignorer ce qu'il ressent dans ces moments-là.

Ah le déni ! Son meilleur ami, mais aussi son pire ennemi… Un allié de taille lorsqu'il faut enfouir ses ressentis, comme il le fait depuis si longtemps. Comme quand son coeur s'emballe lorsqu''il le voit sourire ou l'entend rire ou encore ce sentiment de légèreté lorsqu'ils parlent pendant de longues heures parce qu'aucun d'eux ne veut rentrer chez soi et qu'ils étirent ce temps passé ensemble au maximum. Ce déni insidieux qui vient lui dire que tout ça, n'est que le fruit de son imagination ou pire, que c'est ce que font les amis en temps normal. Les amis, oui… Mais on a rarement envie de coller sa langue dans la bouche de ses amis, si ? Donc non, Fergus ne savait pas ce qu'il voulait. Il profitait des bons moments avec Alejandro, mais lorsqu'il réalisait l'importance des dits moments, il faisait trois pas en arrière, se fermant totalement à la possibilité d'un petit plus. Parce que le petit plus entre eux était inconcevable et il n'avait pas envie de gâcher ce qu'ils avaient déjà.

Et pourtant… Et pourtant, malgré tout cela, Fergus franchit la limite. Il emmerde le déni, il emmerde sa conscience et décide d'écouter son coeur, pour une fois. Il jouait gros, il le savait. Alejandro l'avait mis en garde plusieurs fois et il se doutait qu'au moindre geste de travers, il n'allait pas hésiter à lui en mettre une. Alors le blond joue le tout pour le tout, se colle tout contre lui, ignorant les signaux d'alerte dans son cerveau et écrase ses lèvres contre les siennes. C'était à double tranchant à vrai dire et très vite, il se recule pour lui demander si la preuve était suffisante, la gorge un peu nouée, il faut le dire. Quelques secondes passent, de trop longues secondes pour Fergus qui attendait une quelconque réaction qui finit par arriver. Une main sur sa nuque, ses lèvres de retour sur les siennes, le blond laisse échapper un gémissement de surprise -mais aussi de plaisir, on va pas se mentir- alors qu'il se retrouve coller contre le mur de la chambre. Ce geste semble débloquer quelque chose en lui, peut-être que c'était ce qu'il attendait depuis tout ce temps ? Toujours est-il qu'il ne se plaint pas de cette position, loin de là et en profite pour passer les bras autour de son cou, prolongeant le baiser un instant. [b]« Je vais prendre ça pour un oui.. »[/b] qu'il murmure contre ses lèvres, esquissant un léger sourire avant de repartir à l'assaut de sa bouche comme si sa vie en dépendait.
</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:10

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:white; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Oh son impulsivité, il l'avait remarquée dès leur première rencontre à dire vrai, la même qui l'avait fait s'asseoir dans sa chaise à lui à son bureau. Il a simplement vu qu'elle pouvait être bien pire encore quand il se lançait en effet, tête la première parfois, sans prendre le temps de forcément toujours réfléchir aux conséquences derrières. Par chance, vu qu'en général il était dans les parages à ce moment là, il s'assurait toujours de couvrir ses arrières mais qui sait, peut-être qu'un jour, ça ne suffisait plus. Mais Alejandro avait aussi appris à repérer les signes avant-coureurs, si on peut dire. Certains gestes, tics ou mimiques sur son visage. Qui indiquaient qu'il perdait patience ou qu'il allait faire une connerie, alors il coupait court. Par un regard ou en lui faisant comprendre d'un geste de la main qu'il fallait qu'il se calme. Et allez savoir pourquoi, ça fonctionnait. Ça aurait sûrement déjà du leur mettre la puce à l'oreille à vrai dire, mais le déni n'était peut-être pas si bien ancré que du côté de Fergus apparemment...

Enfin, pour sa part, le déni n'avait duré qu'un temps, avant d'être tout simplement remplacé par de l'omission. Enfin disons plutôt qu'il ne se mentait plus à lui-même sur le sujet mais qu'il cachait tout ça au principal intéressé. Puis qu'il ne savait pas du tout quoi faire avant déjà, vu que bon, en principe pour rappel, Fergus était tout ce qu'il y a de plus hétéro. Il n'allait pas prendre le risque de perdre un bon coéquipier "pour si peu". Évidemment que le si peu est devenu énorme avec le temps et ces deux têtes de mules n'acceptant pas leurs propres sentiments l'un pour l'autre. Au point où Alej perdait enfin patience, après une énième scène de jalousie/changements d'humeur de la part du blond. Il en était arrivé à un stade où il était prêt à le frapper s'il continuait de le chercher comme ça et forcément, pour une fois qu'il n'est plus si calme qu'à son habitude, certaines paroles s'échappent et pas forcément que des bonnes. Mais certaines donnaient à voir à l'autre que s'il voulait vraiment ce qu'il affirmait vouloir, c'était à lui de se décider parce que de son point de vue à lui, Alejandro n'était clairement pas convaincu de quoi que ce soit. Et pouvait-on le lui reprocher vu le comportement de Fergus et le fait que ce dernier était celui qui avait envenimer la situation présente, sans parler de la demande en mariage bidon.

Son dernier avertissement semblait pourtant avoir été suffisamment clair pour enfin débloquer les neurones du blond. Puisque ce dernier se décide enfin à agir, venant l'embrasser quelques secondes, avant de reculer pour lui demander si cette preuve lui convenait. Il y a un léger battement de quelques secondes de son côté. Pas qu'il pèse le pour et le contre, ça il l'a déjà fait, quand on connaît Alejandro, il n'est pas du genre à agir sur un coup de tête -comme quelqu'un d'autre dont je ne citerais pas le nom ici...- mais il essaye plutôt de se convaincre que c'est réellement en train d'arriver. Parce qu'il s'attend à ce qu'il recule et change d'avis, n'assumant pas une fois de plus mais rien. Et quand ces secondes là sont passées, lui aussi passe à l'action. Un peu moins délicatement qu'a pu le faire son coéquipier mais il n'a pas l'air de s'en plaindre, de ce qu'il entend. Son côté latin, dirons-nous. Quand Fergus recule un peu pour dire quelques mots, il rit doucement, secouant la tête de même en se disant que ce type était vraiment un idiot -mais son idiot- et il parvient à glisser une réponse avant qu'il ne l'embrasse à nouveau. « [b]Te demostraré que es un sí... [/b]» Il s'empresse alors de faire en sorte de rétablir un peu l'équilibre entre eux, niveau couverture de tissus puisque lui est largement en avance de ce côté là. Oh oui, il allait lui vraiment comprendre très clairement quelle était sa réponse...</div></div><div style="font-size:9px; color:#DDDDDD; text-align: right; width:500px;"><i>made by black arrow</i></div>

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Message par Proserpine Jeu 27 Juil - 10:10

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<center><div style="background-color:none; padding: 5px; box-shadow: 0px 0px 3px #B7B7B7; width:500px;"><div style="color:#989495; font-size: 32px; text-align:center; font-family: 'Fredericka the Great', cursive; padding-bottom: 4px; color:#white;">Happy fucking Holidays</div><div style="text-align:center; border-top: 3px solid #C1C1C1; font-family: 'Judson', serif; width: 480px; color:#white;">deux idiots coincés en planque, mais qu'est-ce qui pourrait mal tourner ?</div>
<img src="https://64.media.tumblr.com/449aefad9a4900241a9ff1ba6de44060/tumblr_oepg0mAIG51usw302o5_250.gif" style="float:left; width:160px; opacity: 0.7;padding-right: 5px;"> <img src="https://64.media.tumblr.com/150a6080155618ab50d88661da27eeef/25e5dce08c894d52-6e/s500x750/6edf6d729da3833649a93299655acf20919d38e8.gif" style="float:left; width: 170px; opacity: 0.7; padding-right: 5px;"><div style="font-family: sans-serif; color:#898989; line-height: 15px; font-size: 12px; text-align: justify;">Le déni avait bon dos, il faut le dire. Pendant trop longtemps, Fergus avait mis la tête dans le sable, espérant qu'on lui foute la paix. Et que je dis "on", je parle de ses sentiments évidemment. Parce que des sentiments, il en avait. Il les cachait très loin dans son cœur, mais il en avait. Et des sentiments forts et profonds. Mais pas pour la bonne personne. C'est ce que sa tête lui disait en tout cas. Pas étonnant qu'il se soit trouvé une petite amie le jour où il a découvert qu'Alejandro comptait plus qu'un coéquipier. C'était si cliché, on ne voyait cela que dans de mauvaises comédies romantiques, et pourtant... Et pourtant, Fergus était éperdument amoureux de l'homme avec qui il travaillait. Mais ça, c'était trop pour lui et il pensait tout simplement ne pas le mériter, parce que rien de bon ne lui arrivait généralement. Ouais, ce genre de stupidités traversaient très souvent son cerveau, des stupidités soufflées auparavant par son paternel lorsque ce dernier était encore là. Il avait beau le détester, son discours s'était imprimé dans son esprit et il était difficile de s'en débarrasser malgré toute la volonté du monde.

Et pourtant, il fait une planque pour que tout se bouscule. Une crise de jalousie et tout éclate. Fergus est poussé dans ses retranchements, il n'a plus tellement le choix que de se livrer à Alejandro, physiquement du moins. Il n'a pas la force de mettre des mots sur ce qu'il ressent, c'était trop pour lui et il n'était pas prêt. Pourtant l'avoir si prêt de lui pouvait l'y aider. Il lui inspirait confiance, depuis le début à vrai dire, il savait qu'il pouvait tout lui dire. Mais est-ce qu'il pouvait lui dire qu'il ne le voyait plus comme un collègue, qu'il lui avait caché tout cela depuis des années ? Est-ce qu'il lui pardonnerait ces cachotteries ? Son cœur lui disait que oui, mais son cerveau si stupide lui soufflait l'inverse. Oui, le blond était plutôt du genre à extrapoler et à imaginer le pire, voilà pourquoi il a tant de mal à lâcher prise, imaginant qu'il n'en avait pas le droit ou que le pire allait arriver si jamais il osait. Le baiser échangé change la donne sur le moment et le fait d'avoir Alejandro nu devant lui aidait aussi, autant être honnête. Et si c'était le moment d'assumer ? Son cœur l'y poussait en tout cas, tandis que son cerveau essayait de résister encore un peu. Jusqu'à ces mots prononcés en espagnol. Le brun ne savait pas ce qu'il faisait, il ne connaissait pas l'effet de cette langue sur lui. Littéralement. Fergus n'avait pas conscience de ce qu'il avait déclenché et il allait le regretter plusieurs heures plus tard. Son cerveau allait prendre de nouveau le dessus et lui faire faire plusieurs pas en arrière, rejetant Alejandro par la même occasion, mettant cela sur le compte d'un adultère qu'il regrettait. Le déni, encore lui. Son cher ami le déni, qu'il aimait autant qu'il haïssait. Mais pour le moment, Fergus s'abandonne dans les bras du brun, il s'abandonne dans les bras du plaisir, un plaisir encore inconnu, mais incomparable. La nuit est douce, chaude et passionnelle et sur le moment, aucun des deux ne regrette, jusqu'aux regrets du petit matin.


[center]FIN DU RP[/center]
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