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Fiche Domnhall

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Message par Proserpine Sam 27 Mai - 14:19

Code:
<center><img src="https://tinyurl.com/y8edpyem" class="imagefiche">
<nom>Domhnall Irwin Carmichael</nom>
<sst>Anyone can do my job, but no once can be me.</sst>
<div class="trait"> </div>
<div class="inforfiche"><sst>TWs - </sst> Violence verbale/harcèlement moral sur un enfant, abus d'alcool, violence conjugale/physique, traumatisme de l'enfance.

<v>Surnom</v> : bon, à la surprise générale, le surnom le plus courant pour lui est.... [i]*roulement de tambour*[/i] [b]DOM[/b] -j'avais dis que vous seriez surpris-. Déjà que la plupart du temps personne n'arrive à prononcer correctement l'entier... Sinon, il y a aussi [b]DONNIE[/b], surnom que sa mère utilise avec lui depuis l'enfance, la seule personne à pouvoir l'appeler ainsi, en dehors de son ex -surtout quand ce dernier voulait le taquiner ou l'emmerder-. <v>Age, date de naissance</v> : la cinquantaine approche, doucement mais sûrement, il ne la craint pas réellement, il ne fait que se bonifier au fil des années, il en a [b]47[/b] mais il ne les fait pas; quant à sa date de naissance, il est venu au monde le [b]1er MARS 1975[/b] sur les coups de 11h. <v>Lieu de naissance, origines</v> : c'est sur le sol américain qu'il a vu le jour, plus précisément à [b]SAN FRANCISCO[/b], Californie, ville qui l'a vu naître et grandir. Du côté paternel, il a des origines [b]ÉCOSSAISES[/b] -son nom l'atteste bien d'ailleurs-, quant à sa mère, Écossaises aussi mixées avec des aïeuls d'origine [b]GALLOISES[/b] remontant à quelques générations en arrière déjà. <v>Métier, $$$</v> : notre monsieur est ce qu'on peut appeler un ténor du barreau, c'est un [b]AVOCAT[/b] spécialisé en [b]droit des Affaires[/b], un excellent orateur et un type qui en veut, combinaison létale dans ce milieu et qui du coup explique aussi qu'on paie ses services aussi chèrement, il gagne donc extrêmement bien sa vie, il est [b]RICHE[/b] à proprement parler, pas millionnaire ou autre, mais très clairement à l'abri du besoin jusqu'à la retraite et au-delà -oui, il fait fructifier tout ça pour ses vieux jours-. <v>Orientation sexuelle</v> : on pourrait croire qu'un mec avec sa gueule est un tombeur de ses dames, et on peut pas vraiment dire que ça serait faux de dire ça, et il sait quelle image il renvoie, croyez-le bien, mais dans les faits, il est en vérité [b]BISEXUEL[/b], il aime les femmes aussi bien que les hommes -enfin surtout un en fait-. <v>Statut marital</v> : aussi surprenant que ça puisse paraître avec lui, parce qu'on se dit qu'un type pareil, quelqu'un à d'ores et déjà du lui passer la corde au cou, il est [b]CÉLIBATAIRE[/b], depuis un peu plus de 2 ans maintenant. Avant ça, il a quand même été en couple avec le même homme pendant deux décennies... et il n'a d'ailleurs jamais réussi à l'oublier, ce qui explique son célibat actuel. <v>A Monterey depuis ?</v> : l'achat de leur maison secondaire à Monterey avec son ex remonte à [b]2008[/b], soit 15 ans en arrière déjà, ils y ont surtout vécu les week-ends et pendant leurs vacances mais ils y viennent toujours et encore, même s'ils font tout pour s'éviter et se partagent la maison en garde alternée. <v>Caractère</v> : organisé et limite un peu maniaque, surtout dans son boulot + pragmatique + intelligent + vif d'esprit + charismatique + loyal + généreux + ponctuel + doté d'un grand sang froid, il est rare de le voir s'énerver mais quand c'est le cas, préparer vous à en prendre plein la tête, il vise là où ça fait mal + éloquent, il manie les mots à la perfection, et il aime user et abuser de sarcasme + patient mais avec des limites quand même + n'est pas du genre à être oisif, il trouve toujours quelque chose à faire même si ce n'est que regarder un film ou bouquiner + exigeant, il a souvent l'être d'être un connard fini mais ça n'est jamais gratuit, il pousse les autres à s'améliorer bien souvent + esthète, il aime les belles choses, a un goût sûr pour pas mal de choses et il l'assume, il a bossé dur pour se permettre d'avoir tout ça + trop fier parfois, faute à son éducation, il a du mal à dire qu'il a besoin d'aide ou que ça ne va pas mais il se soigne à présent + profondément bon, il est un requin en affaires, mais un cœur bat sous le revers de cette veste Armani... <v>Groupe</v> : Même si en soi, il pourrait bien être une Bree pour le côté image parfaite renvoyée à l'autre, costards toujours impeccable et style à toutes épreuves, il est plutôt une EDIE au final, féroce et sarcastique/coupant  c'est presque sa marque de fabrique, il est foncièrement pas quelqu'un de froid quand on apprend à vraiment le connaître ou sans scrupules -pas pour certaines choses en tout cas XD-, qui cache derrière ce masque d'apparente perfection une blessure bien plus profonde qu'il n'y paraît.
</div></center>
<div class="inforfiche2"><sst>[u]a life, a story[/u]</sst> - Personne en le voyant ainsi, avocat brillant, toujours bien mis et irréprochable, ne pourra jamais deviner que fut un temps dans sa vie, Domnhall a bien failli finir en prison. Car même si l’habit ne fait plus tellement le moine de nos jours, où pourtant bien des choses se basent sur les apparences -sans doute trop même, mais il en joue aussi quand il est à la barre, on ne va pas se mentir-, oui, c’est bien de ce type là qui a l’air d’avoir tout ce qu’il veut au monde dont je parle ici. Laissez-moi vous raconter ce qui s’est passé depuis le début, ça sera plus simple et surtout essentiel pour comprendre comment on a pu en arriver là.

Un homme rencontre une femme, le courant passe et c’est le début de ce qui devait être en principe, une belle histoire. Faut dire qu’il a tout pour plaire, il est beau, charismatique et cultivé, pour quelqu’un comme Deirdre, jeune femme idéaliste qui rêve de rencontrer le grand amour, c’est presque trop beau pour être vrai. Malheureusement, le temps lui confirmera que c’était bel et bien le cas. Car en effet, si les deux premières années ensemble tout se passe très bien, même s’il y a comme pour n’importe qui des petites disputes, rien ne pouvait lui laisser imaginer qu’un monstre se cachait en celui qu’elle avait épousé quelques mois plus tôt.

Non, c’est venu petit à petit, insidieusement, au fil des années. Sinon peut-être aurait-elle mis les voiles avant qu’elle ne se retrouve avec son premier enfant sur les bras. En effet, quelques mois après s’être dit oui à l’autel -en partie aussi pourquoi Patrick a du la demander en mariage, pression de ses parents de faire je cite "les choses comme ils se doivent"-, c’est la naissance de Domhnall qui ravi la jeune femme. Elle qui a toujours voulu avoir des enfants, avoir sa propre famille, elle aussi nombreuse comme la sienne. Mais déjà ce petit bout de chou la comble de bonheur, tant pis si elle ne devait avoir que lui.

L’avantage pour eux, c’est que Patrick, son père, vient d’une famille qu’on peut aisément considérée comme "bourgeoise", ils n’ont pas à trop se soucier d’éventuels problèmes d’argent puisque les parents de Patrick sont plus qu’enchantés d’accueillir leur premier petit enfant. Oui, vraiment, tout semblait être idyllique dans cette histoire mais le problème voyez vous c’est que c’est précisément ce qui va à la longue, fait chier le père de Dom. Cette perfection, les attentes trop hautes d’un père trop autoritaire et qui n’accepte rien d’autre que le meilleur venant de celui qui devra un jour, devenir son héritier. Le même schéma qu’il finira par reproduire d’ailleurs avec son propre fils.

Au départ, tout va bien pourtant. Il essaie d’être là sans étouffer Dom, qui est un gamin énergétique et à la tête bien faite. Il a la répartie facile par contre, il a du caractère et son grand-père a toujours dit qu’un jour, il irait loin avec un tel bagou. L’avenir lui donnera raison mais n’avançons pas trop vite en besogne. Pour canaliser un léger trop plein d’énergie et parce qu’il se dit que comme lui n’a jamais pu faire ça à cause de son père, Patrick inscrit son fils au baseball. Une façon pour le père et le fils de se forger un lien au travers de cette passion commune, car il s’y intéresse très vite le petit, et il s’avère aussi être un très bon batteur. Un "naturel" comme on dit.

Et c’est quand Domhnall commence à vouloir peu à peu délaisser cette passion là pour se consacrer plus à ses études que les choses commencent à se dégrader. C’est là que débute les réflexions du genre « tu ferais mieux de fermer ce bouquin, tu ne feras jamais rien de ta vie de toute façon, tu n’es pas fait pour briller par ta cervelle » ou encore les « pourquoi tu veux devenir quelqu’un d’exceptionnel alors que tu peux tout avoir sans même le demander ? » Oui, clairement, l’adulte reporte sa rancœur envers son propre père sur son fils et il ne devrait pas le faire, mais si seulement c’en était resté là. Car outre les paroles blessantes qu’il a envers Dom et sa femme, c’est un autre mal qui commence à le ronger de l’intérieur. Vous l’aurez peut-être déjà deviné. L’alcool. Le whisky et le bourbon vont vite devenir les meilleurs amis de ce cher Patrick.

Voilà, on y arrive enfin au moment dont je vous parlais plus tôt. Au moment où la vie de Domhnall va arriver à un point de non-retour. Un soir qu’il rentre au domicile familial après un entrainement de base-ball qui s’est éternisé plus que prévu, il tombe sur son père qui menace sa mère avec un couteau. Il est ivre mort, il peut le sentir depuis l’entrée où il se tient, et ses tripes lui envoient directement un signal d’alerte. Il va lui faire du mal. Il le sait, il est bien trop imbibé pour être en possession de tous ses moyens, il marmonne des paroles incompréhensibles dans sa barbe et il avance vers elle qui le supplie de se reprendre. Un premier coup tombe. Il blesse Deirdre au bras et un hurlement retenti. Le déclic se produit aussitôt. Dom avait encore sa batte en main alors qu’il avait franchi la porte en rentrant. Il s’avance donc vers son père et l’assomme avec. Il a alors 15 ans, c’est évidemment de la légitime défense mais ça ne l’empêche pas de se retrouver arrêter et avec la possibilité, s’il n’est pas défendu correctement, de finir en maison de correction et avec un casier.

Et quand je vous dis que ce moment là de sa vie va avoir un impact plus profond et fort que personne n'aurait pu le soupçonner, c’est parce que c’est aussi là qu’il va avoir un autre déclic. En voyant l’avocat plaider sa cause face au juge, avec tant de passion et de brio, il se dit qu’il pourrait un jour en faire autant. Après tout, il a déjà une répartie et une éloquence semblable, il a l’esprit vif et la tête bien remplie. Mais surtout, il se dit qu’il peut réellement faire quelque chose de sa vie. Précisément ce que son père lui a dit qu’il ne parviendrait jamais à faire. Alors oui, quelques années plus tard, quand il achève le lycée, en étant parmi les premiers de sa classe et même de l’établissement, c’est tout naturellement qu’il décide d’aller étudier le droit à l’université.

Quand on s’appelle Carmichael à San Francisco, on peut dire que certaines portes s’ouvrent plus facilement. Il arrive là-bas donc sans avoir à se soucier des frais de scolarité mais il n’a pas accepté pour autant que son grand-père paye pour tout. Il a sa fierté le petit, il veut réussir par lui-même, parce qu’il aura bosser sang et os s’il le faut, mais il ne veut pas que tout lui tombe dans le bec et qu’on le juge parce qu’il porte un nom plutôt qu’un autre mais bel et bien parce qu’il est devenu un nom à lui tout seul. Ce qu’il compte bien faire un jour en ouvrant son propre cabinet d’avocats.

Premier jour de cours, il est installé tranquillement à sa place, attendant que ne commence le cours magistral, faisant tourner son stylo sur son pouce en rêvassant dans le brouhaha ambient. Il sait qu’il va devoir se démarquer de tous ceux présents ici s’il veut y arriver et il s’en donnera les moyens. Il est en train d’ouvrir son bouquin de cours quand il sent une présence à ses côtés, un type essoufflé vient de se poser sur le dernier siège vide de l’amphi, lui sortant « qu’est-ce que j’ai raté ? » sans plus de cérémonie et il lui réplique un « ton réveil apparemment. » direct et voilà comment tout à commencer entre eux. Cameron. C’est son prénom. Le sien est simple à prononcer au moins. Qui aurait pu croire que c’était là le début d’une histoire d’amour qui allait durer plus de vingt ans.

En effet, le courant passe immédiatement entre ces deux-là. Ils ont une complicité évidente, le même goût des répliques cinglantes, les mêmes ambitions aussi même si en effet, leurs origines sont elles complétement opposées. Mais ça, Dom n’en a jamais rien eu à foutre. Je sais, facile à lui de dire ça puisqu’il n’a jamais eu à s’en faire niveau fric, mais comme dit, à part les frais de la fac, il paie tout le reste. Son minuscule appartement non loin du campus, sa bouffe, les livres et autres dépenses de la vie courante. De toute façon, après deux ans d’études, ils vivent ensemble, ça simplifie aussi la chose. Et malgré une fâcheuse tendance à ne pas pouvoir rester loin de l’autre trop longtemps sans que ça ne frôle l’implosion, les deux bossent. Ils donnent tout et le moins que l’on puisse dire c’est qu’ils montrent à tous de quoi ils sont capables si bien qu’une fois leur diplôme en poche, c’est ensemble qu’ils se retrouvent en stage dans l’un des cabinets les plus prestigieux de la ville.

Et là encore, Domhnall subit en quelque sorte, un rappel de ce qu’il a vécu avec son père, quand il entend tout le monde autour de lui, lui dire que son histoire avec Cameron ne tiendra jamais. Parce qu’ils sont trop similaires, trop ambitieux tous les deux pour que ça ne finisse pas par dégénérer à un moment ou un autre. Mais ils leurs donnent tous tort rapidement, parce que même si dorénavant ils bossaient dans deux cabinets différents, ils sont tous à fait capable de compartimenter entre leur vie professionnelle où en effet, ils sont amenés à s’affronter puisque spécialisés dans le même domaine pour rappel -et c’est souvent un spectacle à part entière que d’assister aux plaidoyers de ces deux là entre attaque sans vergogne et flirt à peine dissimulé-, et leur vie privée, qui elle est au beau fixe -demandez à leurs voisins de vous le confirmer…-. En même temps, quand on a un mec comme le sien, c’est pas bien difficile. Il l’aime, ils sont heureux ensemble, ils ont le même objectif, tout va pour le mieux, qu’est-ce qui pourrait donc venir entacher cette image de vie parfaite ?

La réponse tient à un mot en vérité : adoption. Car oui, Cameron fini par ne plus pouvoir contenir son envie d’adopter un enfant. Elle a été présente depuis un moment, si ce n’est même dès le départ mais ils n’en ont pas parler avant un moment, trop focalisés sur leurs carrières, le boulot et tout le reste. Et Dom n’est pas contre l’idée, il sait que son homme ferait le père le plus merveilleux du monde, mais le fantôme de son père le hante encore. Il ne veut pas devenir comme lui, pour rien au monde. Mais il ne peut pas le lui dire. Il n’y parvient pas, à chaque fois ses paroles restent coincées dans le fond de sa gorge, quand son cœur se serre si fort qu’il voudrait hurler mais qu’il le fait au final en se disputant avec lui. Voilà pourquoi il fini par faire la plus grosse connerie de sa vie. Il rompt. Après quasiment 20 années passées ensemble, inséparables, ensemble contre vents et marrées jusque-là, il décide qu’il ne peut pas continuer d’être égoïste. Si pour être véritablement heureux il faut qu’il devienne père, il ne peut pas le retenir. Il trouvera bien quelqu’un qui lui donnera ça, qui pourra être un bon père pour un enfant qui aura la chance d’avoir Cameron dans sa vie.

Ca fait maintenant deux ans qu’ils sont séparés. Et pourtant aucun des deux n’a réussi à retrouver l’amour par la suite. Parce qu’il y a trop de souvenirs à deux, trop de sentiments encore bien présents et vivaces pour que quiconque d’autre puisse occuper cette place là dans le cœur de l’autre. De toute façon, même si ça fait atrocement mal, aucun des deux ne veut se séparer de la maison qu’ils ont acheté ensemble il y a une quinzaine d’années ici à Monterey. Leur nid d’amour, leur refuge… Devenu le réceptacle de leur histoire passée. Qu’ils se partagent un week-end sur deux comme on se partage la garde d’un enfant après un divorce. Ironique au possible, quand on sait que Cameron n’attendait que ça : le gamin et le mariage… Mais leur histoire ne s’arrêtera pas ici, non, ça aucun ne le sait encore mais le destin n’en a pas encore fini avec ces deux idiots là. Il ne les a pas mis sur le chemin de l’autre sans raison, toutes ces années auparavant pour que ça finisse ainsi.

Oh je ne dis pas que ça sera un processus aisé et sans douleur, vu comment ils se sont quittés, mais oui, certaines choses ont changé à présent. Des choses que Domnhall a appris à exprimer au final, chaque semaine chez son psy… Parce que lorsqu’il s’est retrouvé un soir, seul chez lui, un verre en main, un cadavre de bouteille sous les yeux, un autre déclic s’est produit chez lui. Hors de question pour lui de devenir son père, ça a toujours été sa plus grande hantise -la raison véritable pour laquelle il ne voulait pas que Cameron adopte avec lui-. Et là, il a presque l’impression de voir son reflet sur le verre de la bouteille et c’est là qu’il décide qu’il est temps qu’il agisse en homme. Ce que son père n’a jamais su faire. Et voilà comment il fini par pousser la porte du cabinet du psy. Pas facile pour quelqu’un comme lui, qui renvoie cette image de l’homme parfait, à qui tout réussi, d’accepter qu’il est, après tout, un être humain comme les autres avec ses failles. Puis l’espoir, sans doute idiot, que ça suffira peut-être pour un jour, qui sait, retrouver Cameron et réparé sa connerie, enfin ces conneries. Celle d’être parti déjà, mais surtout celle de ne jamais lui avoir dit à quel point il pouvait l’aimer, et de le faire, cette fois-ci, de façon très officielle, avec un anneau autour de son doigt…

[u][b]INFOS EN VRAC:[/b][/u]
Il boit son café noir, exclusivement, et il le prépare sur une machine italienne qu'on ne trouve en général qu'en restaurant mais il a ses contacts et surtout, les moyens de se le permettre, hors de question qu'on le voit foutre un jour les pieds dans un Starbucks + son poison préféré : le whisky, pur malt, minimum 25 ans d'âge, sinon du scotch ou du bourbon peuvent faire l'affaire, s'il n'a pas le choix + s'il n'avait plus touché une batte depuis le jour où il a frappé son père, il s'est remis au base-ball peu après avoir commencé sa thérapie avec son psy, histoire d'exorciser les fantômes du passé et aussi de retrouver une façon plus saine d'évacuer son stress que de boire ou de rester jusqu'à pas d'heure au bureau + il a une balle signée par un de ses joueurs préférés, personne n' le droit d'y toucher sauf lui, elle trône en général sur son bureau et il joue avec quand il a besoin de réfléchir vraiment ou qu'il bloque sur un problème + il ne l'a jamais dit à Cameron, mais la bague qu'il attendait tant, il l'avait déjà acheté, il n'a juste jamais réussi à lui poser la question fatidique, par peur que ça ne change les choses entre eux à un moment ou un autre + grand amateur de musique, il a une grosse collection de vinyles -le son est supérieur, il l'a toujours dit-, principalement de jazz et de soul mais à la maison ça va aussi du rock voir même un peu de métal, monsieur a des goûts éclectiques pour ça + il ne se sépare jamais de son stylo fétiche, un cadeau de Cameron pour le jour où il a ouvert son propre cabinet, c'est un Mont Blanc + son téléphone, son second cerveau, comme n'importe quel avocat digne de ce nom et de son niveau, il a tout dessus et il ne pourrait plus s'en passer même s'il sait aussi décrocher quand il le faut, il n'est pas accro au point de ne pas pouvoir le poser plus de cinq minutes + cinéphile aussi, il aime beaucoup les films noirs avec Bogart ou Kelly, son sens du style il l'a d'ailleurs un peu pompé d'eux, inconsciemment + depuis leur séparation, il partage sa vie entre son duplex à San Franciscoe et la maison de Monterey, pas toujours super pratique mais il ne peut pas se résoudre à vendre, trop de souvenirs emprisonnés ici pour ça + depuis peu, nouvelle petite lubie -moins couteuse que d'acheter une autre voiture de collection-, il s'est mis à joue de la batterie pour se détendre, son duplex est isolé phoniquement de toute façon, pourquoi se gêner alors ...
</div>
<center><img src="https://zupimages.net/up/22/41/5o7q.png" width="120px"></center>
<div class="hje"><ty>pseudo</ty>
<v>Célébrité</v> : le charmant et séduisant [i][strike]Harvey Spector[/strike][/i] Gabriel Macht :coeurs: <v>Présence</v> : ah bah ça va toujours être la même chanson lol  5/7j, dépendant de l'irl mais passage quotidien. <v>Découverte du forum</v> : encore et toujours grâce à Mia <v>Type de personnage</v> : il s'agit encore une fois d'un personnage inventé. <v>Crédit</v> : atlantis (via Bazzart)</div>

Proserpine

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Date d'inscription : 17/04/2023

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